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Premier orage sous l'uniforme
Datte: 22/01/2018, Catégories: fh, inconnu, uniforme, Collègues / Travail cérébral, occasion,
... une allumeuse, je l’ai senti de suite, j’ai pas insisté. Moi je ne parlais pas, les yeux clignant d’incrédulité, tremblant des mains. — Tu verrais ta tête, la vache, on dirait que t’as avalé une autruche. Ça va ? T’as pris son téléphone ?— Non, rien.— Quoi ?— Rien.— Putain, abruti ! Mais t’es fou ! Fallait prendre son tél., ou lui laisser le tien, t’as vu le morceau que c’était ? En plus, chaude comme ça, je suis sûr qu’elle aurait été open pour un plan à trois (perdait jamais le nord l’ami Cédric).— Ouais je pense, fis-je sans aucune conviction mais surtout pour le satisfaire et qu’il arrête de me saouler avec ses questions.— Fonce ! me fit-il en désignant la porte.— Quoi ?— Fonce ! Elle a une correspondance, je l’ai vu sur le billet de sa copine, j’ai pas vu la destination, mais elles sont Allemandes. Va au terminal X* et cherche sur les vols au départ pour l’Allemagne, vite, trouve-la et chope son tél. Vas-y, le chef est retourné au poste, s’il revient je trouverai un truc à lui dire t’inquiète. Mais fonce ! Au final, hormis le petit projet personnel qui commençait à germer dans sa tête, Cédric avait raison : je ne pouvais pas la laisser partir comme ça, ne plus jamais la revoir. Je parvins finalement à me ressaisir, et l’image de mes mains caressant ses tétons gros et souples me propulsa soudainement vers la sortie, tandis que je commençais à imaginer un prétexte pour la retrouver et réengager la conversation avec elle. Mais ceci est une autre histoire… _________________________ * :Je n’ai pas indiqué le vrai terminal pour ne pas être reconnu par mes collègues et encore moins par mes chefs.