Premier orage sous l'uniforme
Datte: 22/01/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
uniforme,
Collègues / Travail
cérébral,
occasion,
... des doigts, le tout très ferme, décidément avec les jambes et les seins, elle devait être assez sportive. Je caressais ses fesses avec le même plaisir et la même ivresse contenue, quand elle me chuchota : —You burn, youuuu burn ! À ce moment sa respiration commença à vraiment s’accélérer, elle le sentit également, mais tenta de se redonner une contenance en gloussant sur l’air de mon visage qui devait effectivement prêter à rire : elle souhaitait rester, de nous deux, celle qui allait garder le contrôle sur l’autre, je pense que c’était bien cela son fantasme. Malgré cela elle commença à tanguer : mes doigts commencèrent à explorer le sillon soyeux qui séparait son cul en deux belles fesses jumelles, je sentis avec surprise une humidité brûlante recouvrir mes phalanges éperdues. Je me demandais, sans le montrer, quelle pouvait bien être cette humidité à cet endroit, je serais allé plus bas dans sa culotte je n’aurais pas été étonnée de la sentir mouillée (et je suis sûr encore aujourd’hui qu’elle devait être trempée de désir), mais là… je me mis alors à frotter mes doigts à l’intérieur de la raie de ses fesses, cherchant une hypothétique et chimérique marchandise interdite, allant et venant de haut en bas, de bas en haut. Elle, elle changea brusquement, là je brûlais c’était sûr, elle se mit à haleter, émettant un minuscule son avec sa bouche entrouverte, et pour la première fois elle baissa très légèrement la tête pour plonger ses yeux sur la bosse sur mon pantalon. En ...
... effet, moi, je bandais comme, je ne sais pas, un âne, un taureau ou un cheval, en tout cas plus rien d’humain, et comme je suis, sans me vanter, assez bien pourvu par la nature, cela se voyait de façon éclatante, pour ne pas dire plus, surtout avec cet inconfortable pantalon d’uniforme. Je ne suis pas entré plus loin au milieu de ces délicieuses fesses, me contentant de frotter, chatouiller et titiller furtivement son petit trou, ce qui semblait la mettre dans un état second : toujours plus haletante, elle ne pouvait désormais plus détacher le regard de ma queue emprisonnée, gonflée et palpitante de désir, sauf pour fermer par courts instants ses yeux, comme pour les reposer d’une émotion trop intense. Elle ne souriait plus et ses jambes flageolaient doucement, il était clair qu’à ce moment nous étions tous les deux en train de perdre le contrôle de la situation, personnellement au point où j’en étais, je m’en foutais et j’étais prêt à tout, n’ayant jamais auparavant ressenti une telle excitation sexuelle. Je passai alors ma main droite autour de sa hanche, toujours sous sa culotte, pour tenter d’atteindre une toison que j’imaginais trempée et brûlante, elle comprit tout de suite ce que j’allais faire et poussa un bref gémissement, plus fort, semblant accepter que ma main l’entraîne dans ma folie. Mais je n’eus pas l’occasion de découvrir sa plus chaude intimité. À ce moment précis, Cédric tourna la tête et, saisi par le spectacle, marqua une seconde d’arrêt, une seconde qui ...