Premier orage sous l'uniforme
Datte: 22/01/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
uniforme,
Collègues / Travail
cérébral,
occasion,
... fesses et contractant mes cuisses pour contrôler ma fébrilité ; l’inconnue me tend un passeport allemand, elle est donc Allemande, bien, elle parle anglais, ça va moi aussi, elle se nomme Christa, c’est joli, exotique pour moi. Elle a 29 ans, ce qui correspond à ce que j’avais supposé. Arrivent les questions d’usage réglementaires, mais elle pourrait me dire qu’elle transporte une tonne de cocaïne dans sa valise les réponses ne semblent pas avoir d’impact sur moi, car je souhaite en venir à une seule chose, contrôler ses bagages car c’est le seul moyen de passer quelques instants avec elle et, qui sait, peut-être la draguer un peu. Elle me suit dans un petit local attenant au filtre, vitré sur le haut, dont la porte ouverte donne sur l’allée où passent les voyageurs. À l’intérieur, juste une table massive en aluminium qui sert à ouvrir et contrôler les bagages. Cédric, qui utilise le banc de visite juste en face de mon local de l’autre côté de l’allée, a commencé à discuter avec la seconde fille et a déjà ouvert sa valise, tout en m’épiant du coin de l’œil car décidément, cette Allemande, il la « sent » bien… Elle pose sa valise sur la table, se poste à côté de moi et se tourne vers moi, les bras croisés, un joli sourire calme sur le visage : elle me trouble encore plus de près, je vois le grain de sa peau hâlée, mais à la dérobée car je suis impressionné et je n’ose plus attarder mon regard maintenant qu’elle est à quelques centimètres de moi ; je fais mine de faire ...
... sérieusement mon travail de fouille de valise, mais à mon avis, aucune crédibilité, elle sent mon trouble, d’autant que je commence à bander très fort, et dans ce fichu uniforme la fameuse bosse du désir se voit à des kilomètres, elle sent mon trouble et elle en joue assez finement ce qui m’excite encore plus : — Pourquoi avez-vous choisi de me contrôler moi ?— (Moi, gêné) Je… fais mon travail c’est tout.— Vous le faites bien ?— Pardon ?— Votre travail, vous le faites bien d’habitude ?— (Aïe aïe aïe…) Bien sûr ! Pourquoi ?— Parce que là… vous n’êtes pas concentré, vous essayez d’ouvrir ma valise alors qu’elle a une combinaison… Quel âne, je n’ai même pas remarqué que la valise est fermée à clef, car mon esprit est tout entier focalisé sur elle, ses jambes que je vois de près, et ses seins qui, vus de face, tout près de moi, se pressent insolemment l’un contre l’autre sous la ferme pression de ses bras croisés. Elle se penche alors pour déverrouiller le code d’ouverture, je ne bouge pas et son sein gauche, ce sein gauche que je fixais comme un horizon depuis de longues minutes, se frotte contre mon bras : je sens sur la surface de ce sein se dessiner quelque chose de dur, que j’identifie immédiatement comme son téton, qui me semble bien gros et cette pensée envoie de nouvelles ondes vibrantes dans ma verge. La combinaison semble résister quelque peu car ma passagère tant désirée s’active fébrilement et, dans le mouvement, sa hanche s’appuie sur la bosse qu’elle avait immanquablement ...