Premier orage sous l'uniforme
Datte: 22/01/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
uniforme,
Collègues / Travail
cérébral,
occasion,
... remarquée : je sens sa chair tendre compresser délicieusement ma verge tendue comme un câble, je ne bouge pas, dans n’importe quelle autre situation cela aurait été incongru et déplacé, elle m’aurait dit de me pousser, mais non, nous restons dans cette position surréaliste, moi debout et elle qui, tout en activant la combinaison, frotte par de légers mouvements de va-et-vient sa hanche, puis une partie de sa fesse gauche sur mon membre qui, si ça continue, ne va pas tarder à se transformer sous les caresses en os pénien… Finalement la valise s’ouvre, elle se redresse, recule d’un pas, ouf !… J’allais imploser ! Je commence la fouille, la valise ne contient que des affaires banales de touriste, vêtements, chaussures, affaires de toilettes. Un sac plastique bien fermé retient mon attention, je l’ouvre et imprudemment fourre ma main dedans (cette fois sans danger, mais plus tard j’apprendrai à ne jamais plonger ma main dans des sacs inconnus, parfois riches en mauvaises, très mauvaises surprises), je sens des morceaux de tissu que j’imagine être des sous-vêtements. Avant que j’aie pu faire quoi que ce soit, elle saisit le cul du sac en un clin d’œil et le vide dans la valise et me regarde en souriant, me glissant : —I help you ! Elle réprime un petit rire coquin qui contribue encore plus à me tendre de tout mon être, et me dit : — Ce n’est rien, ce n’est pas interdit, ce sont mes culottes ! Tout en les soulevant et les bougeant du bout de ses doigts. J’entre dans son jeu, ...
... entraîné par sa hardiesse polissonne, je commence à faire mine de fouiller au milieu des culottes, je m’aventure à en caresser certaines suggestivement à l’endroit où la partie la plus intime de son anatomie a dû maintes fois se reposer, se frotter, mouiller… au bout d’un moment nos mains se cognent, se croisent, se caressent, ce qui la fait encore rire tout doucement. L’intensité érotique gagne une puissance qui me donne le vertige mais elle, elle semble très bien se contrôler et s’amuser de tout cela. Cédric a, quant à lui, terminé avec la copine, apparemment chou blanc. Elle est partie sans attendre Christa et doit probablement l’attendre dehors. Il s’approche, voit et comprend immédiatement notre manège (pas étonnant, me dira-t-il ensuite, avec la tête que je faisais) : avec la dextérité du professionnel rompu aux situations de ce genre, il salue rapidement de la tête ma voyageuse, referme la porte vitrée sans un mot et se poste devant, à l’extérieur. Nous voilà désormais presque entièrement à l’abri des regards, ce que comprend immédiatement la jeune femme qui me regarde avec un mélange de curiosité et d’amusement, semblant se demander ce qui va se passer par la suite. Moi je n’en mène pas large mais je déborde de désir. La valise a été fouillée comme jamais un douanier n’en a fouillé une auparavant, une fouille d’anthologie, tout y est passé et donc je dois la refermer à regret, à regret car je sens que cette étape signifie que le contrôle va bientôt prendre fin. Mon cerveau, ...