Premier orage sous l'uniforme
Datte: 22/01/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
uniforme,
Collègues / Travail
cérébral,
occasion,
... probablement dopé par les doses massives d’hormones de désir, réfléchit à une vitesse qui m’aurait bien servi le jour du bac et tente de trouver un moyen de la retenir, quand tout à coup bingo : j’ai oublié de lui faire vider ses poches sur la table, ce qu’on doit toujours faire ! Décidément, je ne suis pas concentré sur mon boulot, mais comment m’en vouloir ? Je lui dis de vider ses poches et de tout mettre sur la table : elle écarquille les yeux, me regarde amusée, apparemment surprise. Elle aussi, malgré son calme apparent, doit réfléchir à toute vitesse, intensément, mais ne s’attendait pas à ça. Elle s’exécute, mais a peu de poches, normal quand on voit sa jupe au tissu si léger. Une fois que tout est posé, long moment de silence, je dois trouver un moyen de la retenir, je ne peux pas lui laisser mon numéro de téléphone quand même… Et là, je pose la question machinalement, comme on la pose à chaque fois : — C’est tout, vous n’avez rien d’autre sur vous ? Elle me répond alors ce qui va me rester gravé dans ma mémoire jusqu’à aujourd’hui, et probablement pour toujours : — Oui, j’ai quelque chose sur moi, interdit.— … Ah ?— Oui, quelque part, allez-y, trouvez-le si vous pouvez. Si vous pouvez ! Je reste là, comme un tas de sable, soufflé par la témérité de cette Teutonne qui est en train de me rendre barge : elle me regarde, en souriant toujours, mais d’un sourire encore plus gourmand, découvrant de belles dents blanches bien plantées qui menaçaient de croquer l’homme ...
... défaillant qu’elles avaient à leur portée. Je ne bougeais pas, paralysé par un mélange de désir incandescent et de crainte, on m’a bien répété quand j’ai commencé qu’on ne palpe jamais les personnes du sexe opposé, c’est carrément interdit et sanctionné sans pitié (ce qui est normal). Elle brisa cet instant qui semblait une éternité, en me disant : —Come on, I help you, come on ! J’avançai mes mains vers elle, je commençai par toucher, effleurer le tissu de sa jupe. Évidemment si je trouvais une quelconque marchandise interdite entre sa jupe et sa peau j’aurais été le premier douanier de l’histoire à réaliser un tel exploit car c’était impossible. Elle me regardait droit dans les yeux, et je réalisais que depuis le début elle me fixait constamment avec intensité. Cela la faisait rire, l’amusait, mais je commençais à comprendre et sentir à quel point, au plus profond d’elle-même, cette situation hautement explosive l’excitait. Je tentais de presser ma main droite contre son flanc gauche, elle me faisait face, je ramenais doucement mon pouce vers ma paume tout en le frottant intensément contre sa peau, à travers le tissu. Elle me dit : —You freeze ! Ahhh, cela me renvoya immédiatement à mon enfance et aux excitantes parties de cache-cache où on dit « tu brûles », « tu gèles » pour trouver le trésor caché ! Ce souvenir mélangé à la situation actuelle décupla mon excitation, je commençais alors à trembler de partout, et surtout des mains. Ma main droite descendit sur sa hanche, tandis ...