1. Tout ça pour un doigt d'honneur... (1)


    Datte: 22/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... pourquoi je suis là… devant toi… — Euh oui ! …. Enfin… non ! — Le doigt d’honneur. — Ce n’était pas à votre intention… — Ah oui ! C’était alors destiné à qui ? — …. — T’inquiète, on va arranger ça. À l’amiable. Crois-moi ! — Ah oui ! Et comment ? — Tout simplement. Le doigt que tu m’as présenté tu vas me le fourrer. — Où ça ? — Et bien… dans mon fion… Ce n’est pas ce que tu avais l’intention de faire quand tu me la présenter derrière ton volant ? Le jeune homme pâlit, secoua la tête. Il fit mine de se retirer. — Oh là ! Pas si vite. Il faut assumer mon gars. Et tu vois cela tombe bien j’adore me faire doigter le cul si tu veux savoir. Alors quand on me le propose, moi je succombe. Je baissais mon pantalon, mon slip et lui tendais mon cul. — Mouille bien ton doigt et fouille-moi l’anus. Comme il ne se décidait pas, je le menaçais : — Si tu ne le fais pas, je t’encule… parce que moi j’aime enculer les jeunes hommes. Je jouais avec sa peur, m’approchant au plus près du jeune homme. Avec ma main, je me saisis de son poignet. Le serrant très fort. À un tel point, qu’il laissa échapper une plainte. Pris de peur il porta son index dans sa bouche et l’enduisit de salive. Et en posa le bout humecté sur mon anus. Ce simple contact m’électrisa. Je bougeais de la cale pour qu’il me l‘enfonce. Ce qu’il fit. Putain que c’était bon de se faire doigter le fion. — Coulisse-le… et bien profond… Il s’exécuta. Faisant coulisser son index dans mon fondement pour mon plus grand bien-être. ...
    ... J’avais gagné une érection de haute lutte et arborait fièrement ma hampe turgescente. Et cela ne manqua pas à la femme. Elle loucha du côté de mon ventre. Mon cœur pompait dans mes veines des flots tourbillonnants d’adrénaline. — Ça te plaît ? lui fis-je… Pas de réponse. Je me désunis du doigt et m’avançais jusqu’à elle à m’en saisir. Elle se débattait, se tortillait en tous sens, cherchant à échapper à ma poigne de fer qui la retenait. Bouboule venait me prêter main-forte et l’attrapa par la taille. Elle se retrouva coincée entre nos deux corps tout en cherchant à se dégager de toutes ses forces. Je murmurais gentiment à son oreille. — Arrête ton cinéma ma belle et tout se passera bien pour toi, mais aussi pour ton cher neveu. Surtout pour lui si tu vois ce que je veux te faire comprendre. Je lis au fond de toi-même que tu jubiles. Combien de fois t’es-tu masturbée en imaginant cette scène ? — Je ne comprends pas ce que vous voulez me dire. — Au classement des fantasmes des femmes, le viol est numéro un. C’est aussi vrai pour toi ? J’attendais sa réponse, mais rien ne sortait de sa bouche. Je l’avais domptée. — Tu ne veux rien dire…qu’à cela ne tienne… Je pouvais donc agir avec elle comme je l’entendais. Je me reprenais et m’affairais à lui arracher son sage chemisier sans m’embarrasser des boutons. J’allais enfin pouvoir me régaler d’un spectacle que je n’aurais jamais cru à ma portée quelques minutes plus tôt. Je ne fus pas déçu. Elle portait un soutien-gorge noir en dentelle ...