Tout ça pour un doigt d'honneur... (1)
Datte: 22/01/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... ajourée, ornée de parements rouges. Décidément, la tata cachait bien son jeu. Elle me fixa droit dans les yeux. C’était encore mieux que ce que j’espérais. La chair, que l’armature de dentelle contenait difficilement, débordait au-dessus des bonnets. Pour humilier la femme davantage, je sortis les deux seins de leur logement. La chair s’étalait comme une masse crémeuse. La femme avait de gros tétons très foncés, et surtout la peau de la poitrine était laiteuse. J’en soupesais le volume. Bouboule gardait la pause, tout jouasse de me voir mettre à poils la bourgeoise. Elle rougit violemment, mais je n’avais aucune envie de la ménager. Je retroussais la jupe jusqu’aux hanches pour vérifier si sa culotte était assortie au haut. Elle avait gardé les yeux grands ouverts. Je l’observais, la trouvant terriblement belle, abandonnée ainsi à ma merci. Je ne m’étais pas trompé. Elle portait une magnifique lingerie rouge et noire, en mailles transparentes. Sa pilosité était abondante, on voyait le renflement du pubis, sous la dentelle, et des touffes d’un noir s’échappaient sur les côtés de l’empiècement. Elle ne semblait plus avoir peur. Le temps était suspendu. Tout était immobile, avant que tout s’enchaîne et se déchaîne. J’empaumai le con à travers le tissu et léchai le cou de la femme en me penchant sur elle — Ça fait combien de temps qu’on ne s’est pas occupé de toi, chérie ? Elle resta comme à son habitude silencieuse. Ce n’était plus une femme hautaine comme lorsqu’elle était ...
... devant la porte d’entrée. Mais une femme vaincue, soumise, qui s’était rompue sous la menace et attendait la suite des événements. D’un coup sec je lui déchirais son sous-vêtement. M’apparut alors une forêt vierge nullement entretenue, luxuriante, avec quelque chose de terriblement animal. Je restais un instant interdit dans ma contemplation grogna de plaisir. La scène déchaîna en moi des pulsions primaires. À la faire s’allonger sur le plateau de la table. À me faire m‘approcher de l’entrejambe qui m’était offert. Je reniflais bruyamment, puis d’un geste décidé, plongeais ma langue dans la fente suintante. Elle me contemplait comme hypnotisée. Le gout âcre m’empuantit la bouche. Le neveu ne comptait plus pour personne. Il était transparent. Alors que Bouboule regardait la scène, les yeux exorbités, tandis que le mufle noir du pubis de la bourgeoise me sourit. Je léchais mes doigts et partais à la découverte de son intimité. Je n’étais pas un violeur. Je voulais d’abord l’ouvrir progressivement. La brutaliser, la faire crier, ou souffrir, cela ne m’intéresser pas. J’aimais forcer, prendre, c’était vrai, mais en douceur. Et le physique que j’avais facilité la chose. J’effleurais délicatement de mon index. Surpris et ravi, je constatais qu’elle était déjà prête à l’emploi tant elle était mouillée. Je me tus, les deux autres ne devaient rien savoir. Mes yeux rieurs croisaient ceux de la femme. Qui comprit tout de suite le sens de ma moquerie. taktvveh Je ne dirai rien à personne. ...