1. Le plus beau jour de ma vie (2)


    Datte: 24/01/2018, Catégories: Hétéro

    ... pas indifférente. L’accueil se termine ; j’ai bien géré. Contrairement à ce que je pensais, je n’ai pas été stressée ; visiblement, mon anglais ne doit pas être trop mauvais car ils ont compris ce que je leur ai expliqué ; Anne ne m’a pas reprise. Je suis fière et contente. Nous sommes toutes les deux dans le bureau ; je la sens troublée. — Ça ne va pas, Anne ? — Si, mais…c’est… ton Manu… J’ai compris. — Il te fait envie, c’est cela ? Elle baisse la tête, rougit. Mon Manu lui fait envie ? C’est plutôt flatteur, autant pour lui que pour moi. Si une nana te dit que ton mec lui fait envie, tu fais gaffe qu’elle n’essaye pas de te le piquer. Pas de souci, je lui fais confiance, mais on ne sait jamais… et puis elle est mariée. Sauf que moi, c’est d’elle dont j’ai envie : elle m’a foutu le feu, et un câlin entre filles, c’est moins grave. Si Michel l’apprend, on dira que c’est un accident. Au pire, je dirai que c’est de ma faute. neynkklj Sans réfléchir plus longtemps, je la plaque contre le mur, l’embrasse sur la bouche avec force, la forçant à l’ouvrir, lui empoigne les seins et lui pince les tétons. Elle gémit dans ma bouche ; visiblement, elle prend goût au jeu ! Elle enfourne sa langue, cherche la mienne, nos salives se mélangent… Je descends ma main jusqu’à son entrejambe : il est trempé ! Je lui enfonce deux doigts dans le vagin et la masturbe avec force. Elle me broie littéralement les tétons. « Pourvu qu’elle me mette des doigts à moi aussi… » je me dis. Mon vœu est ...
    ... exaucé : elle m’en enfile deux aussi et me masturbe aussi fort qu’elle peut. Nos cris de plaisir sont silencieux ; l’orgasme nous envahit en même temps. Nous sortons nos mains de l’endroit qui vient de nous procurer ce plaisir intense. Je la regarde dans les yeux avec mon regard coquin et provocateur en léchant mes doigts enduits de cyprine, je me passe la langue sur les lèvres de délectation ; visiblement aussi coquine que moi, elle m’imite, puis nous concluons ce jeu indécent et imprévu par un doux baiser. Ouf ! On a eu chaud ! Manu entre dans le bureau, nous regarde l’une après l’autre et remarque nos visages troublés comme des petites filles qui viennent de se faire prendre en train de faire une bêtise, ce qui n’est pas totalement faux. — Ça va, Julie ? Tu n’es pas bien ? Vous n’êtes pas bien toutes les deux ? Vous n’avez pas fait… Nos joues passent du blanc au rouge ; nous rentrons la tête dans les épaules et faisons la grimace de celles qui vont se prendre le ciel sur la tête. Je suis rouge écarlate ; j’ai le sentiment de l’avoir trahi. Il faut que je fasse… enfin, je ne sais pas quoi, j’ai toujours le feu au ventre. Je le prends par la main et l’entraîne dans la chambre (celle qu’Anne nous prête car la maisonnette que nous avions louée est à présent occupée par les Anglais). Je vais lui expliquer, me faire pardonner cette incartade impromptue, et enfin me rassasier car cet écart m’a ouvert l’appétit, et mon ventre crie famine. — Dis-moi, Julie, tu as le feu au cul ? Ce sont ...
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