Le plus beau jour de ma vie (2)
Datte: 24/01/2018,
Catégories:
Hétéro
... les jeux avec ta mère qui te manquent ? Tu es bi, alors ? Ça ne va pas… Et son mari, tu y as pensé ? — Pardonne-moi, je… je ne sais pas ce qui m’a pris ; c’est parce qu’elle m’a dit qu’elle avait envie de toi ! — Tu n’avais qu’à me le demander : je peux lui faire sa fête, pas de souci ! — J’étais certaine que tu m’aurais répondu ça, mais j’ai aussi pensé à son mari, figure-toi. C’est pour cela que je l’ai fait. — Tu t’es sacrifiée ; en quelque sorte ! Mouais, admettons… — Viens, Manu, je vais me faire pardonner. Sans un mot, il me jette littéralement sur le lit. Je rebondis ; il me saute dessus et s’assoit sur mon ventre. J’ai les bras le long du corps, complètement immobilisée. J’ai beau essayer de me débattre, mais rien y fait : il est fort, le bougre, impossible de me dégager. Je tente une manœuvre : je lève la tête pour lui attraper le sexe et le lui mordre, sauf qu’il m’a vue arriver. Il me colle une main sur la bouche et me plaque la tête sur le lit. Une dernière tentative ; je prends appui sur le lit avec mes pieds et essaie de le soulever en m’arc-boutant sur mes jambes… Tu parles, rien à faire, il pèse une tonne ! Par contre, je me fais littéralement broyer les tétons l’un après l’autre. Je suis exténuée, alors je capitule devant mon bourreau adoré. — Non, je ne vais pas te faire l’amour : je vais te baiser, comme on baise une petite salope comme toi ! Mais tu vas commencer par me sucer. Tiens, ouvre la bouche. Il m’enfourne son sexe avant même que ne puisse dire ...
... quoi que ce soit. Ses mots me transpercent le ventre, mon antre me picote. Quelle est cette nouvelle sensation ? Ce sont les mots crus qu’il vient de dire qui me font mouiller ainsi. J’ai envie de lui crier dessus mais je ne peux pas, j’ai la bouche pleine. Ma gorge me serre, une larme coule le long de ma tempe. Il s’en aperçoit, se retire et vient lécher cette larme libératrice. Je me sens humiliée, mais j’ai toujours le feu au ventre. — Pardon, ma chérie, je ne voulais pas… C’était juste pour jouer ; je t’aime. Gêné, il me libère de mon carcan humain. Je l’étreins très fort, du plus fort que je peux. — Viens ! Viens baiser ta petite salope. Prends-moi ! J’ouvre mes jambes le plus possible pour l’accueillir. Il entre en moi et me besogne doucement puis augmente le rythme, tel une locomotive à vapeur tirant ses wagons au départ de la gare. Il me pilonne ; ses coups de boutoir sont lents, puissants, appliqués. À chaque coup, mon intérieur me pique de plus en plus. — Vas-y, Manu ! Baise-la, ta petite salope, vas-y ! Je ne mérite que ça ! Qu’est-ce que je viens d’entendre ? Ce n’est pas moi qui ai dit cela ! Je suis immonde ; mes paroles m’ont complètement enflammée, et j’essaie de retenir le plaisir qui arrive au galop. Les coups de Manu sont encore plus forts ; la cadence est la même, et mes seins sautent à chaque coup. Je n’en peux plus… La cavalerie déboule au grand galop, je me tords dans tous les sens tandis que Manu continue à me pilonner. Il a accéléré ; il va vite, avec ...