Amours culottés (4) - Histoires de Sexe

Amours culottés (4)

... s’immiscerait pas entre nous et mon amour pour toi reste le même, mais c’est sûr que quand il me fait l’amour, je ne peux pas être autre chose que sa femme. Ne soit pas amère ; tu voulais que ça se passe et Brice est exemplaire. Il me fait jouir comme tu n’étais plus capable de le faire ces derniers temps. Tu voulais que je sois heureuse et je le suis. Il te respecte et respecte notre couple. Il accepte même de t’inclure dans notre relation et de devenir une sorte de relais en t’écrivant. J’aurais pu m’y opposer puisque ça me concerne aussi, mais je ne l’ai pas fait, alors quoi ? — Ça va Line, j’ai sans doute tort… Je t’aime tant. — Moi aussi, je t’aime, comme au premier jour. Je te le prouverai le week-end prochain car je ne doute pas que tu vas me manquer cette semaine. — Tu risques de t’ennuyer avec moi… Je n’ai pas une aussi grosse matraque que Brice. — Ça c’est clair, loin s’en faut ! Mais jusqu’à ta promotion tu t’en servais bien et c’est tout ce qui compte pour prendre son pied… Même si grosse et bien, j’avoue que c’est mieux. — Tu veux me rendre jaloux, c’est ça ? — Tu l’es déjà ! Je n’ai rien à faire pour ça, mais je préfèrerais que tu ne le sois pas. Je ne pourrais jamais choisir entre Brice et toi. Il est mon fils et toi mon mari, mon compagnon et mon complice, jusque dans mon adultère incestueux. Gabriel reçut les propos de Line comme un baume apaisant et il ravala sa jalousie et transforma son complexe de petite bite en une fierté de savoir son fils aussi ...

... viril. À partir du mardi suivant, il reçut une lettre manuscrite par jour. Elles décrivaient les rapports incestueux que son fils et sa femme avaient et le style de Brice permettait à Gabriel de s’identifier à lui en la lisant. Sa main droite devint sa meilleure compagne et chaque soir, il relisait toutes les lettres reçues qu’il classait dans un recueil intitulé Line. Le vendredi soir, il alla chercher sa femme et son fils à l’aéroport de Berlin-Tegel et les amena dans son appartement du centre ville. Il était spacieux, trop pour lui seul, mais adapté à la taille de leur famille. Line le trouva agréable et meublé avec goût et Gabriel avoua que la secrétaire du service qui avait été chargée de l’aménagement de son logement de fonction l’avait bien aidée. La chambre parentale était vaste, dotée d’une salle d’eau individuelle et ouvrait sur une terrasse spacieuse communiquant avec le salon. Il avait commandé un repas chez un traiteur avec les quelques spécialités locales qu’il connaissait et arrosé de bons vins allemands. Brice était content, ses parents étaient pleins d’attentions l’un pour l’autre et sa mère lui confia discrètement sa culotte avant d’aller se coucher avec Gabriel. Il les entendit faire l’amour avec plaisir, mais c’est seulement lorsqu’ils eurent fini qu’il se livra à une masturbation libératrice en reniflant la culote de Line. Le lendemain, ils firent du tourisme, visitèrent la ville et certains de ses monuments, et Line et son fils ne purent s’empêcher de se ...