Amours culottés (4) - Histoires de Sexe

Amours culottés (4)

... chercher un peu. Malgré la présence de Gabriel, ils avaient envie l’un de l’autre. Néanmoins, Line offrit sa culote à Brice avant d’aller se coucher avec son mari, mais une heure après, le garçon la sentit se glisser dans ses draps. — Ton père dort… Il n’a pas été aussi performant qu’hier et j’ai eu envie de toi toute la journée. — On essaiera de ne pas faire trop de bruit… J’allais justement fourrer mon nez dans ta culotte. — Et bien fais-le, lui dit elle en le chevauchant. Au moins, ta bite et déjà prête, pas comme celle de Gabriel. Mmm… Ooooh… Oh que c’est bon… — Aaah… Maman, quel plaisir de me sentir en toi avec ton odeur sous le nez… — Chut ! Plus un mot… Aimons nous sans bruit. Ils serrèrent les dents et s’embrassèrent fougueusement pour s’empêcher de gémir et de crier de plaisir. Ils s’aimèrent intensément et longtemps jusqu’à ce qu’ils jouissent ensemble. — Ça t’ennuie si je reprends ma culote ? Je ne voudrais pas que ça coule dans les draps de ton père. — Non, ça va ; je prendrai mon caleçon si j’ai besoin de me branler, mais je crois que je vais dormir plutôt… Après avoir embrasser amoureusement son fils, Line retourna auprès de son mari qui ronflait comme un bien heureux. Le lendemain matin, Gabriel refit l’amour à Line dans l’urgence et, l’après-midi, elle reprenait l’avion avec son fils. — Tout ce trajet pour si peu… Dit-elle à Brice en atterrissant à Paris. Un week-end, c’est vraiment court et frustrant pour tout le monde. Ça ne vaut pas le coup. — C’est vrai, ...

... Maman, mais c’est important. Tu as toujours connu les ambitions de Papa et tu savais ce qu’elles impliquaient ; même moi, je les connaissais, alors si nous ne faisions pas cet effort de le retrouver le week-end, c’est nous qui l’abandonnerions. — C’est vrai… J’avais pensé qu’il pourrait aussi venir chez nous, faire un week-end sur deux, mais je réalise qu’il n’a plus sa place à la maison. Je ne te chasserai pas de notre lit pour l’y accueillir, il ne dormirait pas dans ta chambre non plus et le canapé du salon, ce serait vraiment trop humiliant. On va faire l’effort d’y aller tous les week-ends ce mois-ci, mais, si c’est trop pénible, on espacera. Line et son fils s’aimèrent avec passion, sitôt rentrés chez eux, et s’aimèrent ainsi toute la semaine. Quand ils reprirent l’avion pour Berlin, Brice sentit que sa mère était tendue, mais il ne fit aucune remarque. Lui-même n’en était pas trop content car il songeait que, pendant deux nuits, le contact de sa mère allait lui manquer affreusement. Gabriel, de son côté, était très joyeux et l’exprima clairement en les accueillant. Il leur avait préparé une surprise qu’il leur dévoila une fois arrivé chez lui. — J’ai changé le lit de ma chambre, dit-il en les y amenant. J’ai pris la plus grande largeur possible pour que l’on y tienne à trois. — Tu veux qu’on dorme ensemble ? S’étonna line en voyant la nouvelle literie. — J’ai bien compris la semaine dernière qu’un week-end, s’était très court et sans doute encore plus frustrant pour ...