Amours culottés (4) - Histoires de Sexe

Amours culottés (4)

... vous que pour moi. Si je veux vous voir ici régulièrement, il faut que vous puissiez vivre votre amour à mes côtés, librement. — Oh, Gabriel… Fit Line en embrassant son mari affectueusement. Mais tu vas nous voir… — J’ai chaque jour une lettre qui me raconte en détail ce que vous faites, je vous ai entendu une fois par téléphone, alors je ne suis pas certain de redouter de vous voir. Ensuite, toi et moi, j’espère qu’après 20 ans de vie commune, nous n’avons plus grand-chose à nous cacher. — C’est vrai, mais c’est un peu gênant quand même. — Qui sait, ça me donnera peut-être des ailes ; je n’ai pas été très performant la semaine dernière, et puis, avec un peu de chance, j’assisterai à une première. Si j’en crois tes lettres, Brice, tu n’as jamais enculé ta mère. — Non, on a bien essayé une fois, mais ça n’est pas passé et je ne veux pas recommencer ; Maman a eu très mal. — Ce n’est rien de le dire… ioainndq — Mais vous n’aviez sans doute pas utilisé de lubrifiant ; je suis sûr qu’avec une bonne préparation, vous y seriez parvenu et j’aimerai vous aider. — Tu ferais ça, Papa ? — Oh oui, mon Garçon, j’ai très envie de voir enfin ta grosse bite et j’ai très envie de la voir entrer dans le cul de ta mère. Je suis sûr et certain que ça la frustre. — C’est vrai, Gabriel, j’en rêve, mais Brice est vraiment trop gros. — On verra ça après le diner. La perspective d’enculer sa mère excitait sérieusement Brice et Line était partagée entre désir et crainte, mais Gabriel était confiant. ...

... Le moment le plus difficile pour le garçon fut de se déshabiller devant son père et tous trois furent réellement gênés en se couchant. Cela n’avait rien de naturel et, même si des désirs sexuels restaient présents et complémentaires, leur excitation était retombée. Line ferma les yeux, elle était entre les deux hommes les plus importants de sa vie et se sentit soulagée quand les lèvres de Gabriel se posèrent sur les siennes. Elle répondit à son baiser et ensuite, elle embrassa son fils qui n’en menait pas large. Ce baiser le détendit et il se laissa aller à promener une main sur la poitrine de sa mère déjà caressée par son père. Line embrassa son mari de nouveau et sa bouche passa ainsi de l’un à l’autre pendant un long moment qui fut nécessaire pour réveiller leurs sexes. Elle y porta ses mains, Gabriel à gauche et Brice à droite, et ne put s’empêcher de penser que la différence était encore plus saisissante ainsi ; même son mari en fut frappé. — J’ai essayé depuis des semaines de m’imaginer ce que ça pouvait être, mais, là, j’avoue que je suis vraiment impressionné. Tes mensurations et la photo ne m’en donnaient qu’une très vague idée, finalement. — C’est vrai qu’elle est énorme, je ne m’en passe plus ! Mettez vous l’un contre l’autre que je compare. — Maman ! Fit Brice choqué. — Et bien quoi ? J’ai mes deux amours dans un même lit, je peux bien jouer un peu avec leurs bites. Allez ! Mettez vous là. — Là, c’est on ne peut plus flagrant ; j’ai vraiment une petite bite. — Non, ...