1. Les gendarmes (1)


    Datte: 25/01/2018, Catégories: Transexuels

    ... divin ! j’ai vraiment pris mon pied à la baiser, bon je te laisse la terminer comme il se doit, je vais profiter de sa douche. — Je n’en doute pas, elle avait une attitude de garage à bite pendant que tu la limais, dit Jean en rigolant tout en checkant son camarde. Bon à nous deux Lucile, cambre bien les fesses à nouveau, je vais te faire gémir. Me voilà partit pour le deuxième round, la bite de Jean bien que légèrement plus grosse que celle de son compère n’a aucune difficulté à pénétrer mon intimité, tant la bière et Norbert ont élargi le passage. Visiblement, ce n’est pas sa première sodomie, tant il alterne les rythmes et les variations, j’ai honte mais il m’arrache des gémissements de plaisir à chaque coup de butoir, mon corps est en transe. Au bout d’une quinzaine de minutes, ses mains quittes mes hanches et se posent sur ma bouche, alors qu’il s’est montré plutôt un amant tendre jusque-là, il en profite pour écarter violemment mes lèvres et m’écarte la bouche en grand, sous mes cris de plaisirs qui ne sont dès lors plus étouffés. Il veut me finir, il me tire, il lime de plus en plus fort, j’ai l’impression qu’à chaque coup il veut enfoncer son sexe au plus profond de moi. Je tremble, je gémis, mon cœur s’emballe, c’est la première fois que l’on me baise comme ça. Ses mains claquent mes fesses violemment, j’ai mal, ...
    ... je me demande combien de temps mon petit cul va tenir, soudain il me tire violement la bouche en arrière et dans le même temps vient enfoncer sa bite le plus loin possible en moi, dans un mouvement il se décharge au plus profond de moi, m’arrachant instantanément un orgasme. Je sens son liquide chaud couler à l’intérieur, je suis décontenancée, ses mains lâchent ma bouche, il s’effondre sur mon dos, repus de sexe. — Tu es à moi maintenant Lucile, me murmure t’il. Je t’ai souillé de mon sperme, tu es officiellement ma nouvelle soumise, ou plutôt la nouvelle soumise de la brigade. Des petits cliquetis viennent rompre notre étreinte, Norbert est en train de me prendre en photo avec son portable. — Pour me branler sur toi à l’occasion ma petite salope, et aussi au cas où tu voudrais nous poser des problèmes. On t’a déjà dit que tu étais mignonne tout pleins avec tout ce sperme ? Mes jambes ne me portent plus, je n’arrive plus à quitter le confort de ma table… peu de temps après et voulant prendre congé de moi, les deux gendarmes viennent m’embrasser à tour de rôle, alors qu’il était sur le point de quitter mon appartement, Jean se retourne vers moi. — A notre prochaine garde ma petite soumise, on viendra te rendre une nouvelle visite, ce fut un vrai plaisir de te démonter. Puis la porte claqua… Vivement leur prochaine garde. 
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