Les gendarmes (1)
Datte: 25/01/2018,
Catégories:
Transexuels
... condition physique ne correspond plus à son acte de naissance. Je n’ai plus qu’une envie : me cacher ou fuir le plus loin possible. Le gendarme appelle son collègue, il éclaire mes papiers, j’entends les deux hommes rigoler, je suis incapable de regarder. — Madame, je vais vous demander de quitter votre véhicule, me demanda l’homme d’une voix ferme et sans appelle. Tremblante, et rouge comme une pivoine, j’ouvre maladroitement ma portière, me lève et manque de tomber à cause de mes tallons tant je suis stressée par la situation, heureusement, le gendarme me rattrape d’une main ferme. Alors que j’étais sur le point de le remercier, celui-ci me plaque violement contre le capot de ma voiture, m’arrachant un petit cri de douleur et de surprise. Il m’écarte les mains, me cambre et commence une fouille au corps des plus violente et sans aucun respect pour mon intimité tant ses mains se font aventureuses. — Mais que faites-vous, vous n’avez pas le droit ! — La ferme toi ! me coupa l’homme. Je ne t’ai pas demandé ton avis, tu vas te laisser faire gentiment sinon ça vas très mal se passer pour toi. — Mais… Je ne peux finir ma phrase, la main gantée du gendarme se pose avec force sur ma bouche, lentement il se rapproche de moi, je sens son souffle rauque sur mon cou, je frissonne, lentement il se frotte sur mes fesses et approche ses lèvres de mon oreille. — Maintenant, écoute moi bien petite salope, on sait tous ce que tu es, mais la question est : est-ce que ton entourage lui le ...
... sait ? Je suppose que non, donc écoute moi bien, à partir de maintenant tu vas m’obéir sinon on te ramène chez toi menottes aux points dans ta petite tenue de pute, le tout à une heure où tout tes voisins pourront te voir. Maintenant, si tu as comprise hoche la tête. Quelques larmes coulent sur ma joue, je suis prise au piège, confuse je ne peux que hocher la tête, je sens alors la langue du gendarme me lécher l’oreille et la joue, puis il relâche l’étreinte de son poing sur ma bouche. — Bien je vois que tu es une fille intelligente et docile, me dit-il avec un regard lubrique. Sache que je suis un homme généreux, taille moi une pipe jusqu’aux jus et je te laisse partir comme si de rien n’était. Je n’ai pas le choix, si je dois en passer là pour que mon cauchemar finisse, autant passer à la casserole. Lentement je m’agenouille devant l’homme et lui défait sa ceinture, devant moi se dresse un sexe mou et blanc. Timidement je commence par l’embrasser, une forte odeur de pisse s’en dégage mais je n’ai pas le choix. Ma langue s’égare dans un premier temps sur la verge, je la sens durcir sous mes caresses, son gland est immense et maintenant fin prêt, j’ouvre lentement ma bouche et laisse rentrer cette bite au fond de ma gorge, pendant ce temps, mes mains se posent sur les fesses de l’homme qui commence à me dicter le rythme de ma fellation. — AH Norbert on est vraiment chanceux ce soir, les travesties sont vraiment les meilleures des suceuses, dit l’homme à son collègue alors que ma ...