Martha, la fille de feu et de glace (2)
Datte: 27/01/2018,
Catégories:
f,
fh,
vacances,
voyage,
collection,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
init,
... faire partager ses sensations … D’abord, il y a l’endroit, la Nature, qui doit être sauvage pour être en accord avec la puissance du plaisir. C’est pour cela qu’elle aime se caresser dans des lieux « extrêmes » comme les montagnes, les glaciers. Elle aime allier le chaud et le froid. Le chaud du plaisir de ses chairs intérieures, de son sexe avec le froid des éléments … l’eau, le vent … Elle aime aussi mélanger le froid de sa peau avec le chaud des éléments naturels comme l’eau chaude minérale, la vapeur d’eau des geysers, la boue des caldeira ou tout simplement les rayons de soleil… Elle essaye de me faire comprendre aussi qu’il n’y a pas que les doigts, la langue ou un membre d’homme dans la vie d’une femme …une simple douche peut suffire à éveiller, provoquer et donner du plaisir. Un plaisir qui est d’autant plus fort qu’il se pose aléatoirement sur toutes les parties où le jet est dirigé et par les gouttes d’eau qui arrivent avec force et puissance, le multiplie, le démultiplie. En quittant cette fontaine de plaisir, par acquis de conscience, je passe une main rapide au-dessus du jet à plaisir. L’eau est glacée et la pression envoie ma main au-dessus de mon épaule. En insistant fortement, pour la maintenir dans le courant d’eau, ma paume reçoit des milliers de petites piqûres qui d’abord me donnent l’impression d’avoir mis la main sur un oursin, puis excitent ma peau, finissent par me chatouiller avant que je ne retire ma ...
... main tant cette sensation est insupportable… Rentrés chez Martha, nous avons fait l’amour, doucement, longuement. Cette longue séance était à la fois une ode à son corps, à la volupté qui en émanait mais aussi une sorte de contrepoint à la violence des éléments naturels matinaux … Il en a était ainsi durant les six jours de mon séjour chez Martha l’Islandaise… Et quand nous nous sommes dits au revoir, et non adieu à l’aéroport de Reykjavik, je lui ai promis et juré de lui montrer l’article que vous venez de lire, pour obtenir son approbation. Pour ceux qui aiment que les histoires se terminent bien, sachez qu’avec Martha, nous nous revoyons régulièrement. Au fils de ces rencontres j’ai appris à domestiquer mon appréhension des bains de boues. Maintenant, je sais comment bouger dedans et m’y mouvoir et j’ai pu – avec délice, frénésie et une immense jouissance – satisfaire les fantasmes et volontés de Martha. C’est vrai, les caldeira de boue sont des lieux exceptionnels qui permettent une lubrification naturelle et adoucissent la peau … la rendant encore plus sensible à tout … Mais la seule chose à laquelle je ne me sois pas encore véritablement habitué, c’est le froid glacial du vent qui balaie l’Islande. Alors, si vous allez dans ce pays, sortez couvert ne signifie pas utiliser qu’un préservatif (bien qu’il faille toujours avoir des rapports protégés), mais plutôt : trouvez un modèle en harmonie avec votre doudoune, fourré …