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Business à Barcelone - 2 / 7
Datte: 29/01/2018, Catégories: f, fh, hplusag, extracon, Collègues / Travail hotel, voyage, cérébral, vidéox, Masturbation nopéné, portrait,
... sans arrière-pensées et qu’elle était la seule à penser à mal. Et puis bon, elle n’était pas du genre à laisser traîner sa lingerie sur le lit, après tout… François s’assit dans le grand fauteuil à côté du bureau et avala la lecture des conclusions intermédiaires, réfléchissant à la manière de les utiliser dans les négos sans dévoiler l’as dans sa manche, et Isabelle poursuivait son travail de lecture et d’analyse. il Ils travaillèrent ainsi jusqu’à une heure avancée de la nuit. Et à un moment, en levant le nez, François trouva Isabelle assoupie sur le bureau, la tête sur ses bras. Il comprit qu’il fallait doser ses forces s’ils voulaient tenir la semaine et décida que ça suffisait pour cette nuit. Il se leva, se pencha sur sa partenaire pour lui tapoter doucement l’épaule et la réveiller, non sans profiter un instant du charmant tableau qui s’offrait à sa vue. La sensation de fragilité qui se dégageait d’elle contrastait avec la froideur et la détermination dont elle pouvait faire preuve en réunion. Sa nuque était si proche qu’il lui semblait en sentir la chaleur et sa gracieuse fragilité… Au contact de la main de François Isabelle se réveilla en sursaut, s’excusant presque, mais François se montra une nouvelle fois bienveillant en lui souhaitant bonne nuit… mais sans oublier de lui intimer l’ordre d’être en forme le lendemain matin ! Une fois qu’Isabelle eut raccompagné François à la porte de sa chambre, elle jeta ses escarpins et laissa sa jupe glisser au sol. Elle ...
... commença à se faire couler un bain et termina de se déshabiller. Elle tira les grands rideaux avant de se mettre totalement nue. Avec son gabarit de 48 kilos pour 1,62 m, elle était une mini-femme, mais tout de même avec des formes arrondies là où il le fallait. Elle se surprit à prendre dans ses bras un coussin du fauteuil où François s’était assis et à respirer son parfum. Probablement Bleu de Chanel… François n’était pas l’homme qu’elle pensait et certainement pas celui des bruits de couloir. Il avait cette force en lui et cette solidité qu’elle ne croisait que rarement chez les hommes. Il lui fallait une femme à sa hauteur, une avec qui il puisse fonder une famille, avoir des enfants. Certes, il y avait toutes ces secrétaires de passage… sans oublier son épouse aussi, tout de même. Mais que faisait-elle donc pour le rendre si insatisfait ? Isabelle avait entendu quelques échanges téléphoniques entre lui et sa femme. Elle n’avait ressenti aucun amour entre eux. Ils se parlaient comme deux amis et non pas comme un couple d’amoureux. Était-ce pour cela qu’ils n’avaient pas d’enfants ? Encore une qui n’a pas dû faire le « stage londonien », pensa-t-elle avec une pointe de perfidie… Dans le bain Isabelle se remémora leur vrai premier regard qui l’avait tellement déstabilisée. Cette force qui la faisait rougir elle qui contrôlait tant ses émotions. Cette détermination d’un homme qui ne lâche rien et qui maîtrise paisiblement les situations les plus complexes. Cet homme de goût ...