1. Business à Barcelone - 2 / 7


    Datte: 29/01/2018, Catégories: f, fh, hplusag, extracon, Collègues / Travail hotel, voyage, cérébral, vidéox, Masturbation nopéné, portrait,

    ... élégant, toujours bien habillé et beaucoup plus cultivé qu’elle ne le pensait. L’eau chaude aidant, Isabelle se détendit, ses mains trouvèrent le chemin de son intimité et elle se caressa, oubliant le stress de la journée. Et c’est avec l’image de François et de ses doigts épais qu’elle prit du plaisir. Elle posa le coussin du fauteuil à côté de son oreiller, pas loin de son nez. Cela devait faire deux mois qu’elle ne s’était pas touchée. Venait-elle d’ouvrir la boîte à Pandore ? Elle prit progressivement conscience, avec un certain vertige, que François était le premier homme depuis un an à matcher tous les critères qu’elle s’était fixés. Bon, mis à part le petit détail qu’il était déjà marié, certes… Mais avec effarement, Isabelle réalisa que cet inconvénient rédhibitoire ne la choquait pas, ne l’offusquait pas. Comment était-ce possible ? Sa raison lui faisait-elle soudain défaut ? Incapable d’assumer les conséquences d’une telle éventualité elle préféra chasser cette pensée de son esprit et plongea dans un profond sommeil. ********** Isabelle avait évité de descendre prendre le petit déjeuner pour ne pas croiser François. Encore endormie au réveil, elle s’était à nouveau caressée longuement en pensant à lui. Elle avait pensé très fort à ses mains et ses doigts sur elle… et en elle. Et pas que ses mains d’ailleurs… Et respiré son parfum. Isabelle avait tout fait pour éviter le regard de François le temps de prendre confiance en elle petit à petit. Elle avait peur qu’il ...
    ... lise en elle ses agissements sensuels inavouables de la nuit et du matin. La journée de mercredi se déroula selon le même planning, sauf que cette fois-ci les négociations devenaient plus serrées. Tant François qu’Isabelle, qui disposaient maintenant des mêmes infos que leur client, bataillaient ferme pour défendre les intérêts de leur entreprise. Mais, secret oblige, avec la tactique de la main de fer dans le gant de velours, histoire de ne pas dévoiler leurs cartes. Leur connaissance de plus en plus pointue des dossiers leur permettait de se comprendre sans même se parler, et bien plus d’une fois c’était l’un d’eux qui finissait la phrase que l’autre avait commencé. Professionnalisme oblige, ils conservaient tout leur sérieux alors que pourtant ils souriaient intérieurement du bon coup qu’ils étaient en train de jouer. Mais les regards entendus qu’ils s’échangeaient lors des pauses leur confirmaient qu’ils étaient pleinement en phase… Ce ne fut que durant l’après-midi, quand François promenait le client au MWC tandis qu’Isabelle continuait à bosser comme un galérien, qu’il s’autorisa à lui envoyer un message qui laissait transparaître son euphorie : — Isabelle, avec tout le respect que je vous dois, permettez-moi de vous dire que ce matin vous avez dé-chi-ré… Elle sourit avant de taper sa réponse : — Merci beaucoup François. Mais pas autant que vous… Avant d’ajouter : — Mais nous n’avons pas terminé. Je vous attends dans ma chambre. En début de semaine elle n’aurait sans doute ...
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