1. Passage à l heure d hivers ....


    Datte: 29/01/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... bedonnant n’était pas un Apollon, mais vu son enthousiasme, il aurait peut-être des doigts, une langue de velours et qui sait ? Je le suivais donc jusqu’à sa voiture sous le regard de braise qui ne quittait pas mes jambes. J’étais visiblement le genre de femme dont il rêvait et il le disait du reste. Très relax et sans gêne mon nouvel ami m’a ouvert la porte : un coupé Polo, je vous laisse imaginer, les sièges étaient déjà pliés et avancés au maximum, il était donc bien en attente de sa belle dont il me parlait. Je m’engouffrais dans la voiture avec une jolie main aux fesses au passage. Il ferma la porte et fit le tour pour me rejoindre. Étrangement, je n'étais pas inquiète. Sympa, souriant et plus l’air bête qu’autre chose, je sentais, je savais que je n'avais rien à craindre de ce type. J’avais même l’impression d’avoir un homme très soucieux de mon bien-être et vu ma liberté du moment et mon état d’esprit, j’espérais qu'en passant pour cette « Isabelle », j’aurais l’occasion d’obtenir du plaisir... C’est au fond tout ce que j’attendais de lui ! Son regard me touchait beaucoup ! Il était en admiration et j’imaginais qu’un type comme lui n’avait pas souvent l’occasion de batifoler avec une femme qui à ses yeux était d’un autre monde (pourtant loin de moi cette idée). Il fixait mon corps comme peu d’hommes l’ont fait. Je lisais dans ses yeux toute l’envie qu’il avait de me manger. Très agréable de se sentir comme une confiserie, la plus belle et la dernière du paquet. ...
    ... L’espace était restreint dans la voiture, j’étais dans le fond du siège à droite, les jambes serrées et légèrement tournées vers lui. L’œil rivé sur mes jambes, je le sentais aux anges. La situation bien qu’étrange m’amusait et c’est en souriant, lorsqu’il a posé la main sur mon genou que j’ai levé la jambe comme pour le laisser inspecter son cadeau. Avec une extrême douceur, il a accompagné ma jambe, la posant sur son genou tout en caressant de la cheville au mollet avec une admiration sans faille. Je tendais le pied, tournais la cheville sous ses yeux écarquillés et ses caresses fébriles. Avachie dans le fond du siège, je me laissais ainsi caresser le bas des jambes espérant secrètement qu’il remonte vite ! Malgré sa corpulence, il a réussi à se recroqueviller par terre ne cessant de caresser mes pieds, mes mollets flirtant avec les genoux. Il posait parfois mes pieds sur ses épaules, ses yeux brillaient fixant entre mes cuisses mon petit bout de tissu rouge que je ne cachais plus le moins du monde. Je fondais sous ses caresses le laissant gagner du terrain à son rythme, mais ne manquant pas d’ouvrir les jambes à l’occasion ! Son regard, sa respiration, la situation m’excitait et lorsqu’il s’est mis à embrasser mes genoux, j’ai ouvert les cuisses espérant l’attirer plus haut. Le bougre tournait autour alors que je montais en pression au point de me mettre à me caresser, dessus, puis dans le string sous ses yeux exorbités. Le pauvre avait ouvert son pantalon et je le voyais se ...
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