1. Passage à l heure d hivers ....


    Datte: 29/01/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... triturer la queue entre deux caresses ! Son haleine bouillante sur l’intérieur de ma cuisse me donnait une furieuse envie, ma robe soyeuse me permettait doucement de glisser les fesses sur le siège et ainsi amener le bas de mon ventre vers ses lèvres fiévreuses. C’est près de vingt minutes plus tard, qu’enfin sa langue me brûlait la peau à la lisière de mes bas, je ronronnais de plaisir, cuisses bien ouvertes, un pied contre la vitre gauche, l’autre à hauteur de l’appui-tête du siège passager. Tout en me caressant, je me tortillais sous ses petits coups de langue, sursautant même parfois lorsqu’il me mordillait quasiment à hauteur de l’aine. Je ne comprenais pas trop cette retenue, malgré mes gestes, mes manières qui clairement l’invitait. J’étais sur mon nuage, les yeux au trois quarts clos, lorsque j’ai senti qu’il se redressait, tout en baissant son pantalon de toile, dans un long soupir il me dit qu'il n'en pouvait plus et que malgré ses promesses, il aimerait me goûter le minou... Je n’ai pas compris ses propos ! Il avait certainement convenu avec cette Isabelle qu’il ne toucherait ou embrasserait que ses jambes, il se retenait donc de s’occuper de ma grotte d’amour qui ne demandait que cela. En guise de réponse, la main dans mon string, du bout des doigts je lui ai caressé la joue, alors qu’il revenait, visage en avant m’embrasser l’entrejambes... Sa légère barbe, sa bouche venant me lécher les doigts, les choses se sont enfin précipitées. De ma main libre je ...
    ... l’attirais, lui caressant le crâne tout en cherchant à le pousser vers mon intimité trempée... Enfin, je sentais sa langue me fouiller, me mordiller les lèvres : un pur bonheur ! Je m’ouvrais le plus possible, tout en lui disant que c’était bon, aidée par ses mains qui m’écartaient la vulve, je criais mon plaisir. Ses doigts me pénétrant, ses râles et compliments, je fondais tout en me pinçant les seins. L’instant était magique et j’ose dire que je me suis sentie partir très loin. Il n’était peut-être pas un Apollon, mais Dieu qu’il était habile. Je lui ai pourtant écrasé la tête lorsque cet orgasme est arrivé ! J’ai serré les fesses tant que j’ai pu, accrochée à l’épaule de sa chemise. Lorsqu’il m’a enfin lâchée en se redressant, j’ai continué mes soupirs, quasiment allongée sur la banquette. J’ai ouvert les yeux quelques secondes plus tard, il était à genoux, la verge en main à se masturber, tout en me regardant, et quelle queue ! Un dard bien droit et épais, de taille moyenne, mais d’un calibre rarement vu ! Le pauvre, je ne pouvais ni ne voulais le laisser dans cet état, je lui ai alors souri tout en me redressant, lui demandant de s’asseoir sur la banquette. Le type s’est exécuté le pantalon sur les chevilles. Je me baissais non sans peine entre ses jambes, posant les fesses sur la console centrale tant bien que mal, vu le manque de place. Lui essayait de me faire le plus de place possible et visiblement m’attendait avec impatience. Une fois à peu près installée, j’ai réussi à ...
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