Ça va barder pour son matricule !
Datte: 29/01/2018,
Catégories:
f,
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nympho,
piscine,
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odeurs,
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Masturbation
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Imaginez, chers lecteurs… Imaginez les parfums d’été d’une jeune fille seulette dans sa chambre, sous les toits. La sueur qui s’exhale de son corps juvénile, mêlée à l’évaporation de ses moiteurs intimes. La grâce de ses gestes indolents, ralentis par la touffeur de la pièce. En accompagnant ce geste d’une moue boudeuse, Maïna, une petite rousse de dix-huit ans, referme sa revue. Il fait trop chaud pour s’y intéresser. Même Calypso, sa chatte, refuse de lui tenir compagnie dans cette fournaise et préfère la fraîcheur – toute relative – de la buanderie. Pour ne pas trop transpirer, elle a retiré tous ses vêtements. Ce n’est pas un problème, puisqu’à part son animal, elle est seule à la maison. Ses parents sont partis en week-end. Sans elle, car elle doit réviser pour son bac qui aura lieu dans moins d’une semaine. Ordre paternel. Il en a de bonnes, lui qui se la coule douce avec maman au bord de la mer ! Ils ont réservé un petit hôtel pour la nuit du samedi au dimanche. Si cela se trouve, ils sont en train de faire l’amour dans une chambre climatisée. Elle se plaît à se figurer leur action. Dans quelle position : missionnaire, levrette, enclume ? Dans laquelle a-t-elle été conçue ? Dégoûtant. Et dire que la piscine du jardin est remplie ! Oui, mais elle n’a pas le droit de s’en servir avant la fin des épreuves. Là encore, ordre de son père. Interdiction formelle d’y tremper ne serait-ce qu’un doigt de pied. Il lui vient une idée : elle descend d’un étage afin d’emprunter, dans ...
... une cachette qu’elle connaît, au fond d’un placard, les jouets secrets de sa mère. Elle sait que celle-ci se fait du bien toute seule, sans que son père le sache. Parfois, Maïna entend les feulements de joie sa mère en proie au délire érotique, en solitaire. Elle trouve que sa maman est restée une femme très désirable. Maïna remonte dans sa chambre avec un vibromasseur à grosse boule, qui se branche sur le secteur, ainsi que deux boules de geisha à piles. Maman possède aussi un Sybian, mais il est trop lourd à déplacer. Elle s’allonge sur son lit. Il lui reste à trouver un bon fantasme pour s’envoyer en l’air, stimulée par d’intenses vibrations. D’abord, le grand vibromasseur. Elle tourne le potentiomètre, pas trop fort pour commencer. Les garçons ? Non, pas eux. Elle les trouve bêtes, vulgaires, pas désirables avec leurs voix qui muent et les blagues salaces. Même glabres, leurs baisers piquent, sans même parler des barbus, du hipster à la pilosité fournie accompagné de son inévitable chien au geek à barbichette, T-shirt noir et lunettes épaisses en prime. Bof. Amandine. Cette fille de sa classe possède un charme fou. Brune, élancée, elle est plus grande que Maïna d’une tête. Des seins à se damner pour avoir le droit de les peloter. Oui, Maïna est lesbienne : elle le ressent au creux de son ventre. Mais elle n’a encore pu caresser aucune personne de son sexe. Comme elle trouve que le plaid de son lit colle trop à son dos à cause de la transpiration, elle se lève, se regarde ...