1. Ça va barder pour son matricule !


    Datte: 29/01/2018, Catégories: f, ff, fff, jeunes, copains, nympho, piscine, miroir, odeurs, pied, Masturbation fgode, double, fdanus, jouet, uro, humour,

    ... et se regarde dans le miroir. D’un seul regard, elle se voit nue des pieds à la tête. Elle n’aime pas trop l’image de son propre corps. Faute de se plaire à elle-même, elle a peur de ne pas savoir séduire les filles. Pourtant, elle s’imagine en compagnie d’Amandine. Son père, un militaire très « cul serré », aussi psychorigide (tendance catho traditionnaliste) qu’on puisse l’être, l’a mise en garde tant contre les relations « contre nature », aussi mortelles pour le salut de l’âme que le péché d’abus de soi-même, c’est-à-dire l’onanisme. Ces expressions la font rire. Il a peur de tout ce qui sort de la norme qu’il croit pour toujours établie. Comme s’il pouvait l’empêcher de disposer de son propre corps, et de vivre sa sexualité avec la personne de son choix ! Dans ses leçons de morale, il a oublié d’évoquer les vidéos pornos qu’il consulte en cachette et qui sont restées dans le cache de son navigateur, y compris celles qui représentent des femmes nues en train de s’entretuer à coup de couteau. Fais ce que je dis, mais pas ce que je fais… Tout en introduisant les deux boules de geisha dans son vagin, Maïna aimerait qu’Amandine soit là pour pouvoir lui raconter des obscénités au creux de l’oreille. Elle lui raconterait comment elle s’est dépucelée elle-même avec ses doigts, un an auparavant, un soir de spleen. Elle lui montrerait comment elle fait pour s’envoyer en l’air toute seule, en cachette, à l’aide des jouets de sa maman. Dans le placard secret de maman se trouve ...
    ... aussi un journal intime où la mère raconte, avec une écriture régulière et serrée, ses nombreuses rencontres galantes. Elle n’aime que des hommes, jeunes pour la plupart : des lycéens puceaux, boutonneux, à peine pubères mais bien bâtis, qu’elle déniaise dans un hôtel sordide, le seul lieu tranquille qu’elle ait pu se trouver, avec un grand lit pour le voyage de chair pour tout décor. Dans ce qu’elle écrit, elle se vante d’avoir le flair pour détecter ceux qui seront suffisamment endurants pour satisfaire sa gourmandise. La plupart des garçons de dix-huit ans ont un bâton de dynamite entre les jambes. Dans ces pages, elle décrit peu ses propres émotions, encore moins celles de ses partenaires, et beaucoup plus les pratiques sexuelles, avec des termes sexologiques précis et dénués de toute vulgarité : sodomie, fellation, soixante-neuf et autres positions. Comme si les gaillards qu’elle baisait étaient des robots distributeurs de sperme. Elle ne recherche peut-être rien d’autre. Car l’amour, maman ne s’en est jamais préoccupée, ni pour ses amants, ni pour sa fille unique, ni probablement pour son mari. Manifestement, elle est nymphomane, tendance matérialiste. Pas de sentiments : juste du sexe, mais à gogo. Il lui est même arrivé de payer pour obtenir ce qu’elle demande, lorsque l’éphèbe est particulièrement séduisant. Elle note systématiquement le montant de ses dépenses, la durée de l’acte et l’intensité de ses orgasmes sur une échelle de 1 à 10. Hier soir, par exemple – juste ...
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