Ça va barder pour son matricule !
Datte: 29/01/2018,
Catégories:
f,
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fff,
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nympho,
piscine,
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odeurs,
pied,
Masturbation
fgode,
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... révisent pour le bac pendant plus d’une heure. Maïna ne sent pas le temps passer tant elle boit les paroles de Louise, qui maîtrise à fond tous les sujets. Non, pas une surdouée, mais une bosseuse acharnée. Elle aussi transpire à cause de la chaleur. Sous le corsage se diffuse un parfum qui ravit les narines de Maïna, au moment où celle-ci s’aperçoit qu’elle a oublié les jouets coquins sur son lit. La question tombe. L’innocente Louise lui demande : — Qu’est-ce que c’est ?— C’est pour se masturber. Tu ne connais pas ? Louise rougit. Bien sûr qu’elle connaît la stimulation de son sexe avec ses petits doigts tout fins. Sauf qu’elle ignore qu’il existe différents moyens mécaniques d’en décupler le plaisir. Sauf que la volupté n’est rien sans un partenaire câlin pour la partager, main dans la main, en toute complicité. Ou une partenaire… Maïna montre à Louise le vibromasseur et les boules de geisha. Elle les fait vibrer. Louise est surprise que le mouvement soit si fort. Candide, elle demande une démonstration à son amie. — Tu veux… que je me branle devant toi ? Vraiment ?— Ben, oui. Toi et moi, on est des filles. On est faites toutes les deux pareil. Tu trouves ça trop impudique ? Tu ne veux pas me montrer ta petite chatte ? En disant cela, elle pose sa main sur celle de Maïna qui était loin de penser que Louise la désirait secrètement depuis le début de l’année de terminale. Si elle avait su ! En fait, si elle avait su, il se serait passé quoi de différent, entre elles ? ...
... Maïna se déshabille. Elle le fait lentement, pour faire durer ce moment. Ce n’est pas un vulgaire strip-tease, c’est l’effeuillage de l’innocence. Et encore, il n’est pas complet : elle garde sa culotte. Elle n’est pas encore prête à exposer sa toison rousse : l’interdit parental pèse encore trop lourd. Malgré cela, l’enfant vêtue se transforme en adulte presque nue, mais il faut pour cela une demi-heure de sourires, d’hésitations et de minauderies. Les deux amoureuses ne se quittent pas des yeux. Pendant ce temps elles discutent de leurs goûts, leurs projets, leurs peurs. De tout ce qui est important pour elles. Ces habits-là aussi se retrouvent au sol, phrase après phrase. En toute confiance. — Tu as trop chaud ? lui demande Louise en voyant les grosses gouttes perler sur la peau de Maïna.— Oh oui, j’ai chaud ; je crois même que je n’ai jamais été aussi chaude de toute ma vie !— Montre-moi le plaisir, s’il te plaît. J’ai envie de te voir.— Et toi ?— Après. D’abord, je veux te voir jouir. À nouveau, Maïna se tient debout devant son miroir. Mais cette fois une fille se tient juste à côté d’elle et regarde son reflet. Elle écarte ses cuisses ; quelques poils roux dépassent des élastiques de la culotte. Seule ou pas, elle préfère écarter les jambes au moment du plaisir. En soulevant furtivement l’écran de tissu, elle introduit les boules de geisha au creux de son ventre. Elle mouille tellement que cela rentre tout seul, alors que deux heures avant elle avait été obligée de les ...