1. Ça va barder pour son matricule !


    Datte: 29/01/2018, Catégories: f, ff, fff, jeunes, copains, nympho, piscine, miroir, odeurs, pied, Masturbation fgode, double, fdanus, jouet, uro, humour,

    ... lubrifier avec de la salive. Puis elle actionne le vibromasseur plaqué contre son clitoris. De sa main gauche, Louise caresse le dos, le long de la colonne vertébrale, de la nuque au coccyx. Elle voudrait accéder à l’anus, mais les fesses sont trop serrées pour que cela soit possible. — Détends-toi, dit-elle doucement. Nous avons tout notre temps. C’est un moment pour nous… Maïna se rend compte qu’elle a tort d’exiger de son corps un orgasme rapide. Elle diminue la puissance des vibrations, se force à respirer profondément, et relâche ses muscles un à un. — Tu es belle, tu sais… reprend Louise. Une vraie déesse… mon Aphrodite à moi ! La culotte tout imbibée de sueur et de glaires gêne Maïna, qui se décide enfin à l’ôter, mais préfère que ce soit Louise qui lui retire l’ultime écran de sa pudeur. Selon son idée, l’enlever elle-même aurait été tristement banal. Pour sa première fois, il lui faut une mise à nu exceptionnelle. — Laisse-moi, continue Louise. Laisse-moi te toucher… là où j’en ai envie… oui, là… Les fesses légèrement écartées permettent enfin l’intromission d’un index. Le contact avec les muqueuses anales est presque électrique. — Il y a tellement longtemps que je rêve de te faire ça ! chuchote la petite blonde. S’il te plaît, permets-moi d’entrer au plus secret de toi… au plus profond… au plus intime…— Et dire que je ne savais pas…— Je t’ai dessinée pendant les cours. Personne ne s’en est aperçu, heureusement. J’ai gardé mes dessins dans un cahier. Tu veux les ...
    ... voir ?— Oh oui ! Allongées sur le lit, elles font une pause dans leurs ébats pour regarder les croquis de Louise. Toujours au crayon noir. Réalisés dans l’urgence. Le danger d’être surprise. Les contours du corps sont souvent à peine esquissés, mais très conformes : juste deux traits pour un petit sein pointu, avec un cercle en guise de téton. Maïna y est représentée dans les poses les plus impudiques qui soient, seule ou en compagnie de partenaires imaginaires, mais seulement des filles ou des femmes. La dessinatrice a beaucoup de talent. Puis elles se remettent debout devant le miroir et reprennent leur action câline là où elles l’avaient laissée. Le doigt pénètre maintenant à l’intérieur du rectum. Puis il se retire. Louise se met à genoux et lèche l’orifice arrière, tout doucement. Les vibrations font leur effet. La pente du plaisir, d’abord douce, devient raide. Puis l’orgasme s’impose. Il est fulgurant. C’est l’extase. Maïna ne sait plus où elle se trouve. Elle perçoit seulement le contact de ses mains avec celles de Louise. Son corps n’est plus qu’une boule incandescente. Sa voix est un cri. Un chant de grâce. Soudain s’éveille la fontaine d’eau vive qui dormait en elle, et dont elle n’avait pas conscience. L’abondance la surprend. La liqueur de joie gicle devant elle. Elle a déjà assisté à cela en espionnant sa mère, ce qui l’a beaucoup troublée, mais ne croyait pas que cela se produirait si vite pour elle-même. Contrairement à ce qu’elle ressent quand elle est seule, ...
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