Une soirée chaude
Datte: 29/01/2018,
Catégories:
fhh,
2couples,
Oral
Partouze / Groupe
... sourire complice de Pierre. Le souffle de Marie est erratique, ponctué par des apnées et des vagues violentes qui secouent son corps. Philippe se relève, il se regarde, il pose un baiser sur la vulve de sa partenaire, les pieds reposent toujours sur les épaules, un doigt s’insinue soudain dans son anus. Elle tremble. — Non, pas maintenant, ce n’est pas possible ! Il sort son doigt rapidement, mais le mal est fait, elle est secouée par un violent orgasme inattendu. Elle retrouve son calme sous les yeux désolés de Philippe. — Je ne pouvais pas savoir que…— Non, c’est moi qui suis désolée, je n’ai pas pu me retenir. Elle se lève et se dirige vers le voile qui sépare des coins câlins, il suit. Des « oui, comme ça, encore » montent du haut des escaliers. Ils arrivent en bas et Orianne les jambes repliées sur la poitrine, est fermement tenue par les bras mince d’Albert. Sa tête joue frénétiquement entre les jambes de son amante. — Ne t’arrête pas… Oui, ça y est, oh ! tu me fais jouir… Elle se tord et crie son plaisir. Marie se déshabille rapidement et se couche à côté d’Orianne, dans une position indécente, elle passe une main dans les cheveux de la jeune femme, émue par le violent orgasme dont elle a été spectatrice. Philippe se couche proche de Marie, elle se retourne et commence l’exploration du corps de son amant. Son sexe est diamétralement opposé morphologiquement à celui d’Albert, il est court, ou tout au moins normal, mais son diamètre est impressionnant et Marie est ...
... surprise par le volume et la dureté de la hampe. Sa langue détaille la verge, arrivée sur le sommet du gland, elle ouvre la bouche et centimètre par centimètre, elle enfonce le membre dans sa bouche, ses lèvres finissent par toucher la toison de son amant. Commence alors, une fellation douce qui arrache des soupirs de plus en plus rapprochés. Orianne suit le mouvement et honore le sexe tendu du jeune homme. Le sexe de Philippe est tellement imposant que Marie ne peut utiliser que ses lèvres pour satisfaire son amant, elle alterne les succions profondes et des coups de langue sur le gland conjugué d’un va-et-vient de la main. Orianne vient de poser un préservatif sur le long membre de son amant, s’est positionnée sur le côté et Marie regarde la colonne noire s’enfoncer inexorablement, elle se place en face d’elle assez pour sentir son souffle rapide. Le sexe épais de Philippe écarte ses chairs et se rue dans son vagin. — Elle est bonne sa queue ? demande Orianne entre deux gémissements. Marie ne répond pas les yeux révulsés par le plaisir intense, sa mimique parle pour elle. Leurs deux gémissements se conjuguent et sous l’assaut des deux hommes, elles se sont encore rapprochées et c’est Marie qui recherche et trouve la langue de d’Orianne. Les sexes qui les fouillent et leurs langues qui s’emmêlent augmentent leurs plaisirs mutuels, la jouissance violente d’Orianne déclenche la sienne et leurs voix se joignent dans un grand concert. Les deux mâles n’ont pas joui et dégagé de leur ...