1. Mon pari le plus stupide (1)


    Datte: 30/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    C’est fou les risques que l’on peut prendre, pendant une soirée débridée entre filles, en acceptant des paris stupides… En juin dernier, nous étions réunies, Carine, deux autres copines, et moi, dans un bar du centre ville fréquenté par les étudiants et une clientèle plutôt jeune. Carine est ma meilleure amie depuis plusieurs années, et souvent la complice de mes frasques sexuelles. Elle est bi, comme moi, et elle sait tout de moi – ou presque. Sabrina et Lucie, les deux autres filles, travaillaient avec moi à l’université. C’étaient deux nanas très libérées aussi, mais complètement hétéros. Elles n’hésitaient pas à nous raconter leurs aventures, souvent assez torrides. Nous partagions toutes les quatre un penchant pour l’exhib, et un appétit de sexe qui nous mettait quelquefois dans des situations "limite". Ce soir là, nous avions de quoi alimenter la conversation ! Lucie revenait d’un week-end prolongé au Cap d’Agde, avec son copain et un autre couple. Elle nous a raconté en détail ses après-midi sur la plage, où elle se masturbait chaque fois en public, et comment son petit ami l’avait prise à la vue de tous. Ils partageaient le même appartement avec l’autre couple, et les nuits étaient, elles aussi… "animées". Ce qui nous a amenées, Carine et moi, à vouloir faire avouer à Lucie qu’elle avait goûté aux plaisirs lesbiens avec la femme. Il a fallu que nous insistions longtemps, pour qu’elle finisse par le reconnaître, provoquant chez Carine, Sabrina et moi, des cris qui ...
    ... ont attiré l’attention de tous les clients. Nous avons exigé des détails de la part de Lucie, toute rouge de confusion, détails qu’elle nous a confiés du bout des lèvres, à voix basse. Puis la conversation s’est orientée vers des sujets plus softs, et très féminins. C’est alors qu’une jeune fille blonde, très belle, est rentrée dans le bar. Lorsqu’elle a aperçu Sabrina, elle lui a souri et l’a saluée, avant de rejoindre un groupe d’étudiants, installés à une table à l’autre extrémité de la salle. Je connaissais cette fille de vue, et Sabrina nous a dit que c’était Johanna, une de ses élèves. Elles avaient sympathisé toutes les deux, et Sabrina a appris qu’elle se livrait, occasionnellement, à une activité de call-girl, pour se faire un peu d’argent. D’après ce qu’elle disait, elle sélectionnait ses partenaires, et ne s’offrait qu’à des hommes qui l’attiraient. Cette révélation nous a fait réagir, et la discussion qui s’ensuivit fut animée. Cette fille avait-elle raison de faire ça ? Dans sa situation, en cas de grosses difficultés financières, accepterions nous de faire la même chose ? Peut-on trouver un réel plaisir dans ces rapports ? Les avis étaient, pour le moins, partagés. Sabrina refusait catégoriquement d’envisager l’hypothèse pour elle-même. Mais nous lui avons rappelé que l’éducation qu’elle avait reçue dans une famille fortunée lui permettait difficilement de s’imaginer les difficultés des étudiantes pauvres. Lucie était plus modérée, mais ne se voyait pas en ...
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