Mon pari le plus stupide (1)
Datte: 30/01/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... call-girl, même "sélective" dans le choix de ses clients. Carine, quant à elle, me surprit en se montrant hésitante. J’étais la seule à dire clairement que, dans la situation de Johanna, je pourrais sans doute envisager cette solution pour poursuivre mes études et m’assurer un niveau de vie minimum. Ma prise de position a provoqué des réactions plus ou moins vives de mes trois copines, très féministes. Mais nous étions trop amies pour que le débat dégénère. Au lieu de ça, elle m’ont poussé dans mes retranchements, en insistant sur le fait que je ne me trouvais pas au pied du mur. Nous avions un peu bu et, de fil en aiguille, Sabrina et Lucie m’ont mise au défi de me mettre dans la peau de Johanna pour une soirée, et de vivre la situation d’une call-girl. J’ai affirmé que je pourrais le faire, et là, nous avons parié… Je suis très joueuse, et je ne pouvais pas me dérober. Elles m’ont donné quinze jours pour relever le défi ! Revenue chez moi, j’ai réalisé ce à quoi je m’étais engagée… J’ai d’abord pensé que je pourrais trouver facilement un homme intéressé, qui me plairait. Ensuite, j’élaborais dans ma tête un scénario où tout s’enchaînait presque naturellement. Je me trompais totalement ! Lors de ma première tentative, je n’ai réussi qu’à me faire humilier, et je ne vais pas raconter la scène en détail. Je suis allée dans un bar fréquenté essentiellement par une clientèle masculine et aisée. Habillée sexy, j’ai cherché à me faire remarquer par un grand blond, très séduisant. ...
... Il m’a effectivement draguée, mais quand je me suis montrée directe et que je lui ai indiqué mes conditions, il a été furieux et m’a traitée de pute devant tous les clients. Morte de honte, j’ai laissé un billet sur la table pour payer ma consommation, et je me suis enfuie. Rentrée chez moi, je me suis reprise. Il n’était pas question que je perde mon pari. Il fallait donc que je trouve une stratégie plus adaptée ! Pour mon deuxième essai, deux jours plus tard, je n’ai rien laissé au hasard. J’avais décidé d’aller dans un hôtel quatre étoiles, qui reçoit en semaine beaucoup d’hommes d’affaires et de commerciaux. J’ai téléphoné dans l’après-midi, en me faisant passer pour la secrétaire d’un certain Xavier de Ternière, et réservé une table pour deux, à 20h30. Avant de partir, je m’étais fabriqué sur mon ordinateur des cartes de visite, avec mon prénom, la mention "escort", une photo de moi bcbg mais sexy, et un numéro de portable. Après une bonne douche et m’être parfumée, j’ai choisi une tenue, là encore "sexy bcbg": tailleur, avec une veste sur un bustier à bretelles en voile (on voyait que je n’avais pas de soutien-gorge si elle s’ouvrait, jupe à mi-cuisses, bas dimup, escarpins à talons aiguilles. Je suis arrivée à la réception de l’hôtel à 20h30 précises, en disant que j’étais attendue par ce M. de Ternière, pour dîner. Il m’a été répondu qu’il n’était pas encore arrivé (et pour cause!), mais que je pouvais l’attendre, soit à sa table, soit au bar. Je me suis installée au ...