1. Mon pari le plus stupide (1)


    Datte: 30/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... bizarrement, mais il tendit leurs clés à mes deux compagnons, pensant que j’étais une relation de travail. Nous sommes allés dans la chambre de Fabien, et mes deux clients ont pris une douche. Fabien le premier est ressorti en boxer. Vraiment pas mal. Puis Patrick. Un peu moins musclé, mais la bosse qui déformait son slip... Ohlala! — Allez, montre-nous ce dont tu es capable, m’a dit Patrick, avec une lueur lubrique dans le ragard. Et avec un canon comme toi, deux heures, ce ne sera pas trop… — Je suis à vous, leur ai-je lancé, l’air provocant. Ils m’ont entouré, et chacun de leur côté, ils ont commencé à me déshabiller. Je voyais mon reflet dans le miroir qui occupait toute la porte de la penderie, et ce que j’apercevais m’excitait... Moi, jouant l’escorte, dévêtue par ses clients. Ils s’y prenaient bien, sans précipitation. Ma veste a glissé le long de mes bras, découvrant immédiatement mes seins gonflés, à peine voilés par mon bustier transparent. Ma jupe a suivi. Ils ont pris un court instant pour m’admirer, avec mon minuscule string, mes jambes bronzées gainées dans les bas, mes escarpins à hauts talons. J’avais vraiment le look d’une escort de luxe. Fabien a relevé mon bustier et l’a fait passer par dessus ma tête, pendant que Patrick baissait mon string. J’étais nue. Les pointes de mes seins se dressaient à vue d’oeil. Mon mont de Vénus tout lisse attirait le regard vers ma fente, que je sentais s’humidifier... Je devais prendre l’initiative, si je voulais avoir l’air ...
    ... d’une pro! j’ai passé mes bras autour de la taille de mes deux "clients", et j’ai commencé à baisser leurs slips. Ils m’ont aidé à les retirer complètement, et j’ai découvert deux queues à demi bandées... déjà impressionnantes! j’étais gâtée. Je me suis agenouillée entre les deux, et je me suis mise à les branler. Je sentais entre mes doigts leurs longues tiges se déployer et se dresser, et j’ai découvert leurs glands avec douceur. J’ai porté celui de Fabien à ma bouche, le gratifiant de petits coups de langue, tout en continuant de branler Patrick, qui savourait, les yeux mi-clos. Puis j’ai échangé. Plusieurs fois, les suçant de plus en plus fort, leur arrachant des grognements de plaisir. Jusqu’à ce qu’ils m’empoignent tous les deux, et me jettent littéralement sur le lit. Ils ont écarté grand mes cuisses, pour mater ma chatte. — La vache! qu’est ce qu’elle mouille!, a commenté Patrick. — Oui, a renchéri Fabien. Et en plus, elle suce comme une reine. J’ai rarement vu une pute qui ait autant l’air d’aimer ça. Je vais la lécher, je suis sure qu’elle adore aussi. Pas vrai, petite salope? Je me suis sentie honteuse, humiliée. Mais aussi excitée, et encore plus honteuse de l’être. Et j’ai répondu "oui, vas-y," à Fabien. Il a plongé la tête entre mes cuisses ouvertes, et là... Oh la vache! c’était un as du cunni! Sa langue savait à merveille dénicher mon clito, le titiller, se glisser dans ma fente. Je me suis mise à couler sur son visage, en gémissant, et ses doigts ont rejoint ...
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