Mon pari le plus stupide (1)
Datte: 30/01/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... sa langue. L’extase! En même temps, je suçais Patrick, qui me bâillonnait. Heureusement, car j’aurais sûrement crié de plaisir. Et ils ont échangé leurs places, encore une fois. Patrick ne me procurait pas autant de sensations avec sa langue, mais j’avais à faire à deux hommes expérimentés et endurants. Je commençais à comprendre pourquoi ils me voulaient pour deux heures de baise. J’allais devoir assurer!! A ce moment là, nous sommes passés aux choses..."sérieuses". J’avais apporté des préservatifs (en quantité, heureusement), et ils les placèrent sur leurs verges dressées. Fabien s’est retiré de ma bouche. J’étais allongée sur le dos, haletante. J’avais toujours mes chaussures, il s’est replacé entre mes cuisses, et il a soulevé mes fesses en me disant: — Maintenant, je vais te baiser, à fond. Je vais te faire gueuler de plaisir, ma petite salope. Guide toi-même ma bite. J’ai saisi l’énorme pieu dans ma main, et je l’ai placé entre mes petites lèvres, couvertes de cyprine. D’un seul coups de reins, il m’a pénétrée. Profondément. J’ai poussé un cri de plaisir quand j’ai senti ses couilles appuyer contre mes fesses, cri vite interrompu par le gland de Patrick envahissant ma bouche. Fabien a marqué un temps d’arrêt, au fond de ma grotte, il s’est retiré presque entièrement, et il a replanté son dard dans ma fente, avec une force telle que j’ai reculé d’une vingtaine de centimètres sur le lit, en poussant un gémissement. Alors, il s’est déchainé. Il tenait fermement mes ...
... cuisses relevées à l’équerre, et il a commencé à coulisser dans mon antre, à un rythme infernal. Bientôt, nous avons été en sueur tous les deux. Je ne pouvais plus sucer Patrick, tant j’étais secouée par ces coups de boutoirs, et je le branlais, pendant qu’il malaxait mes seins gonflés à me faire mal. Je voulais jouer les pros du sexe, détachées, mais je n’ai pas pu contrôler le premier orgasme qui est monté en moi, irrépressible. Je me suis mordu les lèvres pour ne pas crier, mais les spasmes qui secouaient mon corps en disaient long sur mon état. Fabien s’est retiré, sans avoir éjaculé, en laissant sa place à Patrick. — Vas-y, mon vieux. Bourre lui la chatte! Elle adore ça. Tu as vu comment elle jouit? Et Patrick a pris sa place. Il m’a démonté la chatte, avec autant de violence. Je suis incapable de dire pendant combien de temps, j’avais perdu conscience de la réalité, tout mon corps semblant se concentrer dans ma fente ouverte. Impossible de me contrôler. J’ai joui encore. Et cette fois, j’ai crié, mais Patrick s’est contrôlé lui aussi. Mes deux clients ne m’ont laissé aucun répit. Je me suis retrouvée à genoux sur le sol, en levrette, et Fabien a réinvesti ma chatte. Cette fois, Patrick s’est agenouillé aussi, face à moi, pour que je le suce. Chaque coup de reins de Fabien me projetait en avant, enfonçant le gland de son copain jusqu’au fond de ma gorge. Ils semblaient ne jamais se lasser, et j’ai commencé à sentir la fatigue. Ils étaient manifestement décidés à me prendre, ...