1. Carole une si belle femme enceinte, au mariage d'un collègue


    Datte: 30/01/2018, Catégories: fh, extracon, enceinte, Oral fsodo,

    Zut zut zut et rezut ! La poisse quoi ! J’étais invité au mariage d’un collègue, et vraiment pas envie de d’y aller. Mais je fus désigné par d’autres collègues pour aller lui remettre son cadeau de mariage issu d’une collecte. Tu parles ! Mes autres collègues avaient bien réussi à se débarrasser de cette corvée. J’avais dis "ok, mais juste pour le vin d’honneur", mais une fois sur place j’apprenais qu’une place était retenue pour le repas de noce ! Seul au milieu de ces gens que je connaissais pas je risquais de m’ennuyer dur, du moins le pensais-je ! Je pris la résolution de m’esquiver pendant le repas et d’invoquer une urgence quelconque. Les convives commençaient à s’installer autour des grandes tables de cette grande salle des fêtes ; quant à moi, j’étais relégué en bout de table au fond de la salle, entouré d’inconnus peu liants et très peu causants. Le repas avait commencé lorsque deux retardataires se présentèrent à la porte, une femme enceinte d’environ 28 à 32 ans et son mari ; l’espace d’un bref instant, le mois de juin et son soleil coquin me firent voir par transparence toutes les formes majestueuses de cette femme enceinte. Le couple s’assit à une autre table, cette délicieuse femme face à moi ; quand nos regards se croisèrent pour la première fois, j’eus une impression indéfinissable… L’entrée finie, je continuais à dépérir d’ennui, mais les regards que j’échangeais avec cette jeune femme m’intriguaient, et je me forçai un peu à rester et à endurer ce mortel ...
    ... ennui. Son mari jouait au gamin avec d’autres convives et s’exhibait en milles pitreries douteuses, se trémoussant de façon ridicule, car la musique du disc-jockey commençait déjà à se faire entendre. "La pauvre " pensais-je, " elle doit pas être à la noce souvent avec un gros nigaud comme ça". En effet elle affichait auprès des invités des sourires de bonne convenance, mais qui trahissaient un embarras certain. Nos échanges de regards ne cessaient pas, je ne savais qu’en penser : attirance, appel au secours, drague visuellle ? Le repas étant fini, les tables avaient étés repoussées pour laisser le champ libre aux danseurs. Les petits verres de vin que j’avais bu m’avaient fait oublier un peu mon ennui, je restais donc là à ce mariage, me disant que c’était mieux après tout qu’un plateau télé seul un samedi soir chez moi. La jeune femme enceinte était assise seule, son grand dadais de mari continuant ses exercices de niaiserie. Nos échanges de regards continuaient dans la discrétion. Que faire ? pensais-je. Elle était si jolie, châtain clair, des yeux marron, de taille moyenne, une poitrine ferme, généreuse mais pas trop ; des jambes potelées mais bien galbées, une cambrure des reins accentuée par sa grossesse, un ventre qui reposait sur un peu sur ses cuisses, tant il était avancé dans la grossesse. Je n’y tenais plus, il fallait que je fasse quelque chose pour savoir ce que voulaient dire ces regards que nous échangions. Je ne connaissais personne ici, je ne risquais rien, ...
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