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Carole une si belle femme enceinte, au mariage d'un collègue
Datte: 30/01/2018, Catégories: fh, extracon, enceinte, Oral fsodo,
... puis j’écartais ses cuisses, ma bite commençant à glisser en elle, puis, d’un coup violent je rentrais tout mon sexe en elle allant presque en butée, elle se cabrait de plaisir, lâchant des râles et des roucoulades ; je sentais son vagin qui, par contractions successives, se rétractait sur mon membre, cela faisait comme un manchon humide, très agréable. Je la bourrais sans aucun égard pour son état, la traitant de salope, elle me répondait par des râles successifs tant son excitation était à son comble. De mes mains je lui pétrissais ses seins qui ne tardèrent pas à couler de ce doux liquide comme en ont parfois certaines femmes enceintes avant l’accouchement. Je la remplissais avec ardeur puis, me radoucissant, je me concentrais sur son plaisir à elle, je lui caressais doucement le visage, la regardant droit dans les yeux, lui caressant le ventre, les seins, tout en restant en elle sans plus bouger ; je voulais la faire craquer par ma douceur non feinte pour qu’elle ait encore envie de me revoir, pour la toucher au cœur aussi. Quand elle fut comblée de tendresse et de douceur ce fut à son tour de me faire signe que je pouvais continuer à prendre mon plaisir. J’avais aussi envie d’elle par son œillet, son anus me faisait envie. Je le lui dis, elle se redressa sur ses jambes et me dit qu’elle ne l’avait jamais fait avec son mari, car elle le jugeait trop gauche et trop brutal pour ça. Je lui écartais ses fesses et lui léchais son petit trou mettant toute la salive de ma ...
... bouche sur son anus. Je me redressais, elle se penchait en avant, je commençais à pointer mon dard sur son anus, elle poussa un peu pour faire rentrer ma bite en elle, comme grisé je poussais aussi, mon sexe glissait à l’intérieur d’elle en une seule poussée. Nous nous démenions comme des chiens lubriques. J’étais sur le point de me vider, mais c’est dans sa matrice que je voulais me vider. Je le lui fis comprendre, re-table, re-sur le dos, et puis une série de va-et-vient. Ma giclée fut longue, fournie et abondante. Je l’aidai à se redresser, la pris dans mes bras et fis poser sa tête sur mon épaule, lui caressant doucement le corps. Nous étions bien tous les deux cette nuit-la. Je lui dis aussi pour garder une dimension érotique a cette histoire : — Ramasse tes habits, ma salope enceinte. Elle me répondit par un "Oui ! " et des " Je veux te revoir …!". Nous nous rhabillâmes et reprîmes le chemin du retour. Je ne reparus pas à la noce pour brouiller les pistes et ne pas éveiller les soupçons par notre retour ensemble, Carole et moi. Grisée par notre aventure, elle profita de la gueule de bois de son mari pour venir me voir le lendemain dimanche chez moi. Nous avons fait l’amour ensemble jusqu’à ce qu’elle accouche. Nos jeux érotiques et notre goût de la provocation en public allaient croissant. Nous nous faisions même passer pour un couple légitime dans des restaurants ou des magasins, avec un sentiment d’extrême perversité. Et elle se disait intérieurement : — S’ils savaient que ...