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Carole une si belle femme enceinte, au mariage d'un collègue
Datte: 30/01/2018, Catégories: fh, extracon, enceinte, Oral fsodo,
... nous croisâmes un groupe d’hommes en train de discuter et de fumer, certains détaillaient nos visages et se souvenaient sûrement que nous étions arrivés, elle en couple et moi seul ; ils se doutaient bien à quoi rimait cette petite escapade nocturne ; d’ailleurs leur conversation s’était interrompue. J’étais fou de joie de pouvoir leur montrer que d’ici quelques instants, j’allais me faire une femme mariée enceinte, d’ailleurs elle aussi affichait une certaine fierté de ce qu’elle faisait avec moi. Un peu plus tard, nous nous retrouvions de nouveau seuls sur le chemin, faisant plus ample connaissance en nous questionnant. Elle avait 28 ans, s’appelait Carole et était employée dans une grande entreprise ; enceinte de huit mois, elle attendait des jumeaux, elle avait pris 27 kilos depuis le début de sa grossesse, tout dans le ventre et tout dans les seins comme elle le disait elle-même, un mariage raté, mais un divorce impensable. Maintenant que nous étions seuls et loin de toute agitation, je m’enhardis à lui prendre la main pour tester ses intentions. Elle répondit en croisant mes doigts avec les siens et me serra fort la main ; un sentiment de bien-être (le réveil de mon sexe !) se faisait sentir. — On fait ça où ? me demanda-t-elle, comme hyper pressée de passer l’acte.— Ici, lui dis-je. Je me mis face à elle en plein milieu du chemin, et je l’embrassai goulûment, passant mes mains sous sa robe de grossesse tant mon excitation était grande, je sentais sa culotte de ...
... grossesse remontée jusqu’au milieu du ventre, et aussi un soutien-gorge bien serré, je sentais aussi son gros ventre chaud sous mes mains je le caressais pour en connaître le volume et l’ampleur. De son côté elle commençait à déboutonner mon pantalon comme pour me montrer comment elle était salope. Je sortis mon sexe de mon slip, elle s’accroupit et commença à me faire une fellation royale, de mes mains posées doucement sur sa tête je la guidais pour qu’elle donne plus de plaisir. Sa position étant devenue inconfortable pour elle, à cause de son ventre, elle se releva, j’en profitai pour lui ôter et jeter sa robe par terre, elle était en sous-vêtements au beau milieu du chemin ; comme grisée par la situation, elle retira son soutif. — Je veux te prendre, lui dis-je. Il fallait pour cela trouver un endroit adéquat pour qu’elle s’allonge ; elle se souvint qu’un coin pic-nic existait à 50 mètres d’où nous étions. En effet une table en bois massif s’y trouvait, elle étala dessus sa robe, baissa sa culotte, et s’allongea sur le dos, sur le dessus de la table ; je me mis à lui manger le minou, un doux minou épilé de frais, elle jouissait, criant un peu par rafales, comme une femme qui se libère après avoir dû taire trop longtemps sa jouissance. Avant de la pénétrer je lui labourai le clito avec mon doigt ou le plat de la main pour la chauffer encore plus, elle se cabrait de plaisir. Mon sexe était tendu à l’extrême, c’était le moment de la pénétrer. Je plaçais ses jambes sur mes épaules ...