1. La tempête de neige (1)


    Datte: 18/06/2017, Catégories: Divers,

    ... Je la regarde, je fixe ses seins gonflés aux pointes grosses comme des noisettes. Elle n’a pas remis son slip sous sa nuisette. Et dire qu’elle est sortie comme ça. — Tu n’avais pas de culotte à la pâtisserie? — Non. Cela t’ennuie? — Ce n’est pas ça. Tu aurais pu avoir un accident et alors? — Je ne pense pas à tout ça. Je n’en ai pas mis pour aller plus vite. Je crois que si tu restais avec moi, je prendrais goût à sortir avec toi, toute nue sous ma robe. Et pourquoi pas sous mon manteau de fourrure. Ça doit être excitant de me dire que je pourrais être surprise comme ça. Tu te rends compte de ce que je suis en train de dire? Cela ne m’est jamais arrivé. Tu m’as rendue folle de plaisir. Alors, mon chéri, qu’en dis-tu? Cela te plairait? — Bien sûr, mais ce n’est pas le cas. Nous ne vivons pas ensemble et je le regrette. — Bah! Tu reviendras. — Certainement. Si tu acceptes, je passerai le prochain weekend avec toi. — Tu ferais ça? Tu es merveilleux. Vivement samedi. — Je te le promets. D’ailleurs, je ne rentre chez moi qu’une fois sur deux. Je n’ai pas trop de billets de train. — Je peux aller te chercher à la gare de Namur? Nous referons le voyage ensemble. Je veux revivre notre rencontre. — Pourquoi pas. Et si tu es toujours d’accord, je viendrai chaque mois ou chaque quinzaine. — Tes études sont encore longues? — Si je réussis chaque année, il me reste un an et demi. Sinon, un peu plus longtemps. — Je ne peux pas te demander d’échouer pour avoir le plaisir de t’avoir à moi ...
    ... plus longtemps. — On ne sait jamais, un gros ennui est vite arrivé. — Je ne te le souhaite pas. Nous avons encore fait une fois l’amour avant mon départ. Ce fut aussi brillant que la veille car elle fut encore plus amoureuse. Elle vint me reconduire à la gare. Sur le quai, elle me prit dans ses bras et m’embrassa follement au point que des passants toussotèrent, un peu gênés. Elle me fit promettre de revenir bien vite. — Je te l’ai promis, lui dis-je en la quittant. Le train démarra, mais elle resta sur le quai jusqu’au moment où le train disparut dans un virage. Je rentrai chez moi, bien fourbu, mais heureux. Ce dimanche-là, on m’appela au téléphone chez les voisins. Leur sourire en dit long. Marie-Anne voulait savoir si j’étais bien rentré. Je ne pus parler beaucoup parce que les oreilles se tendaient. Pourtant elle me fit comprendre qu’elle avait envie de faire l’amour. — Ne t’inquiète pas, je ne vais pas te tromper. Je vais me caresser en pensant à toi. — Je ferai la même chose, répondis-je. De toute façon, tu es libre de faire ce que tu veux. Et si tu as l’occasion de te faire jouir avec une bite, pourquoi te refuserais-tu ce plaisir? — C’est la tienne qu’il me faut. Quinze jours plus tard, je passai le week-end avec Marie-Anne. J’avais averti mes parents qui ne trouvèrent rien à redire. J’ai revu souvent Marie-Anne au cours de mes études et chaque fois ce fut le feu d’artifice. Et puis, un jour, après mon diplôme, je passai la voir. Elle m’annonça qu’elle avait trouvé un ...