La tempête de neige (1)
Datte: 18/06/2017,
Catégories:
Divers,
... chériiii! Jouiiiiis en moi! Aaaaaaaah! Aaaaaaaah Je.. pars... Ouiiiiiiiiii Elle saisit mes fesses, les serre de toutes ses forces. Je suis au fond de son ventre dont je sens palpiter la chair. Elle crie son plaisir au moment où tous deux nous sombrons dans l’orgasme. Sa moule presse ma bite qui se déverse en elle. Et je retombe sur elle en gémissant. Ses yeux révulsés, son souffle court témoignent de sa jouissance. Sa peau se couvre de taches roses. Je me glisse contre elle en la câlinant doucement. Elle gémit encore, secouée par les derniers spasmes du plaisir. Je m’appuie sur un coude et la contemple, nue et encore offerte, le sperme, suintant lentement de sa chatte béante, s’écoule sur le drap. Elle ouvre les yeux, des yeux brillants, mais un peu vagues. — Oh! Que m’as-tu fait? Tu m’as eue! Quelle secousse! Il y a si longtemps que cela ne m’était plus arrivé. Chéri, comme tu m’as bien fait l’amour. J’aurais presque envie de recommencer. — Moi aussi, mais laisse-moi le temps de recharger mes batteries. Toi aussi, tu m’as eu. Je sens encore sur ma pine les pressions de ton vagin. Quelle chatte tu as! — Et toi, quelle bite! Elle est bonne, tu sais! Ah! Je me sens si bien. Mais, j’y pense, le souper doit être froid. Viens, nous allons manger, cela nous donnera des forces pour recommencer. Elle me prend dans ses bras, m’embrasse fougueusement et m’entraîne vers la petite salle à manger. Elle m’abandonne pour réchauffer le repas. Celui-ci sera le bienvenu, l’amour nous ayant ...
... donné la fringale. Marie-Anne revient très vite, pose le plat et se penche pour me donner un autre baiser brûlant. Nous sommes nus, assis l’un contre l’autre, ce qui nous permet de nous caresser tout en mangeant. Ma main libre va et vient sur ses seins gonflés. Elle ne cesse de caresser ma bite qui reprend vigueur entre ses doigts agiles. — Ca y est! Tu rebandes déjà! Ça va vite chez toi! J’aime ça, tu sais une belle bite bien dure et courageuse. Je sens que nous allons passer une nuit agitée. Ma main quitte ses seins et descend sur le ventre. Marie-Anne ouvre lentement ses cuisses et ma main s’insinue jusqu’à la chatte. — Tu peux bien parler, dis-je en souriant, tu mouilles comme une fontaine. Tu es chaude comme une braise. J’aime les moules qui coulent toutes seules, comme la tienne. — J’ai toujours été comme ça. Rien que de me caresser doucement les seins, je sentais ma chatte devenir toute moite et une chaleur me prendre à l’intérieur. Alors, je la frottais et je me faisais jouir toute seule. C’est comme ça que j’ai découvert que, comme toutes les femmes, j’avais un petit bouton très sensible et que rien qu’à le caresser et le prendre entre deux doigts, cela me mettait dans tous mes états et je finissais par grimper au plafond. C’est ce que tu m’as fait d’ailleurs et j’ai joui comme rarement ce m’est arrivé. J’aime mon petit clitoris et j’adore quand on joue avec. Caresse-le moi encore. Tu le fais si bien! Regarde, ma chatte coule encore et ce n’est pas que ton jus de ...