Bien au-delà de mes espérances - Histoires de Sexe

Bien au-delà de mes espérances

... plaisir revenir. Les deux garçons, beaucoup plus résistants que lors du premier assaut, firent jouir Véronique comme jamais je ne l’en aurais cru capable. Devant ce spectacle d’une pornographie extraordinaire, je ne pus m’empêcher de prendre une puis deux puis de nombreuses photographies. Le visage de Véronique semblait transfiguré et lorsqu’à l’occasion elle me regardait, elle semblait ne pas me voir, les yeux comme dans un autre monde, tournés vers ce plaisir dément qui la faisait voguer d’orgasme en orgasme. Moi-même j’étais hypnotisé par ces trois corps imbriqués, par ces deux sexes qui emplissaient ma femme et la faisaient jouir comme jamais je ne l’avais fait jouir. Les deux hommes s’occupèrent de Véronique pendant plus de deux heures, échangeant leurs places, forçant sa bouche, tentant des pénétrations inhabituelles : deux dans son vagin, deux dans son anus, godemichés de diverses tailles pour les remplacer après leur jouissance. Je comptai qu’ils avaient chacun joui quatre fois dans le ventre ou les reins de Véronique. Moi-même, je n’avais pu retenir mon plaisir une deuxième fois ; quant à Véronique, elle m’avait semblé surfer sur une interminable vague de plaisir qui la laissait épuisée, endormie nue en travers du lit, du sperme s’écoulant de son vagin et de son anus le long de ses cuisses. Je venais de passer une matinée extraordinaire. Je pris une douche, laissant Véronique dormir, puis descendis prendre un petit-déjeuner. Je retrouvai les deux autres, douchés ...

... eux aussi mais restés nus, en train de visionner les clichés de leurs ébats. — On t’en fera une copie, me dit le jeune en rigolant.— C’est un super coup, ta nana, poursuivit le plus âgé. Quand je pense qu’on croyait qu’elle était coincée du cul !— C’est pas le cas, intervint le jeune en éclatant de rire.— Si vous n’y voyez pas d’inconvénient, tous les deux, on publie habituellement nos photos sur des sites de cul. Sous mes yeux repassaient les scènes auxquelles j’avais assisté deux heures avant, et de penser qu’elles pourraient être publiées sur le web, au lieu de me faire peur, cela m’excita à m’en tordre le ventre. — Il n’y a pas de problème, mais dites-moi sur quels sites.— Ta femme sera d’accord ? me demanda le jeune.— Il vaut mieux éviter de lui en parler, ça restera entre nous ! lui répondis-je. * * * * * Cela faisait quinze jours que nous avions passé ce week-end de folie. Nous n’avions pas parlé avec Véronique de ce qui s’était passé, lorsque, ce soir-là, elle me dit : — Les deux cocos m’ont rappelée. Ils nous ont invités pour le week-end prochain et j’ai accepté. Mais j’irai toute seule, t’avais qu’à ne pas accepter que mes photos soient publiées sur internet. Je suis allée les voir et on me reconnaît super bien, surtout celles que tu as prises. T’es un vrai salaud, et ces photos, je vais te les faire payer ! Je restai sans voix, mais pensai qu’elle changerait d’avis et me laisserait l’accompagner. C’est vrai que les deux frères avaient publié les photos les plus ...