Bien au-delà de mes espérances
Datte: 31/01/2018,
Catégories:
fhh,
couple,
extraoffre,
cocus,
freresoeur,
fépilée,
telnet,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
cocucont,
... pornographiques, où l’on voyait Véronique à visage découvert alors que leurs visages à eux étaient masqués, et où elle était très reconnaissable : aucune zone de son corps n’avait été cachée. J’avais passé des heures à les regarder lorsque Véronique était absente, toujours aussi excité à la dixième vision qu’à la première ; je m’étais même demandé que répondre si quelqu’un de notre connaissance les voyait et m’en parlait. Nous n’en reparlâmes pas. Je pensais qu’elle accepterait que je l’accompagne et que si non, j’irais de mon côté. Mais le vendredi à cinq heures, elle n’avait pas changé d’avis. Elle prépara une petite valise et sortit en me disant :« À dimanche soir ». Je pris un air penaud de circonstance en pensant :« Je vais y aller en douce, elle me laissera bien entrer ». Au bout d’une heure, je pris la route pour rejoindre la maison de nos nouvelles connaissances. Arrivé sur place, tout était éteint, et personne ne répondit à mes coups de sonnette. « Ils sont peut-être allés au restaurant », pensai-je. Je décidai d’attendre. À quatre heures du matin, je dus me rendre à l’évidence qu’ils ne rentreraient pas ce soir. Je décidai de revenir le lendemain, mais même déconvenue. Je rongeai mon frein tout le week-end, pensant en permanence aux deux hommes avec Véronique. L’excitation était telle que je me masturbai deux fois en regardant leurs photos sur le web. Elles étaient effectivement hyperpornographiques, surtout celles que j’avais prises. Enfin, le dimanche soir, ...
... vers dix-huit heures, Véronique rentra, les traits tirés, épuisée. À mes questions, elle me répondit que, pour éviter que je les rejoigne, ils lui avaient proposé de l’emmener chez un de leurs amis. Elle avait hésité, mais sa rancune pour moi avait été la plus forte :« Un de plus ou un de moins, quelle importance ? » avait-elle pensé. Elle les avait rejoints dans le parking souterrain à cinquante mètres de chez nous, où elle avait laissé sa voiture tout le week-end, était montée dans leur voiture en pensant« Alea jacta est » et s’était laissé conduire pendant trois quarts d’heure jusqu’à un charmant petit manoir du dix-huitième siècle, au milieu d’une forêt. — En entrant dans la maison, j’ai eu un choc… mais tu verras ça sur Internet, me dit-elle. Puis elle alla se coucher, me plantant là avec mes questions. Il fallut trois jours pour que les photos, ainsi que plusieurs vidéos, paraissent sur le site où les premières avaient été publiées. Trois jours pendant lesquels Véronique me refusa toute autre révélation, me laissant dans un état d’excitation quasi permanent. Plusieurs fois par heure, je me connectais au site et enfin, le jeudi, vers onze heures, elles étaient là ! Et là, j’en pris plein la gueule ! Non seulement les deux frères étaient présents, mais je dénombrai au moins sept autres hommes : deux noirs, un jeune Maghrébin, et quatre blancs, dont un bedonnant. Je compris alors le choc de Véronique. Je passai quatre heures à visionner les photos et les vidéos. Les hommes ...