La dame du courrier
Datte: 02/02/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
hbi,
fplusag,
couplus,
grosseins,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
fsodo,
coprolalie,
hsodo,
... blanchâtre, nous étions tous les deux repus, vidés, ivres de jouissance. Je récupérai dans mes doigts un peu du précieux liquide et le portai à la bouche de Louise qui le lécha avec avidité. C’est alors que j’entendis un bruit derrière mon dos. Intrigué, je me retournai pour découvrir un homme, juste derrière moi. Il était entièrement nu, le sexe fier et érigé et il avait de belles moustaches. De suite, je reconnus son homme, il avait le torse incroyablement velu. — Francis a très envie de t’enculer, dit simplement Louise. Elle me tenait fermement tout contre elle mais j’aurais pu me dégager. — Laisse-toi faire, mon amour. Tu vas voir comme c’est bon de se faire mettre, insista-t-elle. Pour dire vrai, j’avais déjà essayé, je le faisais même assez souvent lorsque j’étais étudiant. J’avais été initié par un prof un peu pervers et j’avais continué avec un copain un peu vicieux. Je savais que ce n’était pas désagréable mais de là à me faire sodomiser par le mari de ma maîtresse… — Francis est au courant de tout, tu sais, depuis le premier jour ! C’est lui qui a insisté pour que je me donne à toi, et pour que je te revois ensuite, pour que je sois sans cesse plus vicieuse avec toi. Il adorait que je lui raconte tous nos ébats… mais maintenant il a envie de participer. C’est à ce moment que je sentis le gland bien dur de son homme entre mes fesses. Allais-je lui offrir mon fondement ? Curieusement, je me remis à bander, preuve que j’en avais vraiment envie. La situation était ...
... inhabituelle et bizarrement très excitante. Le camionneur glissa un doigt humide dans mon cul. Quelle salope, cette Louise, m’offrir ainsi à son mari. Mais j’avais envie de lui donner ce petit plaisir et très envie aussi de me faire déchirer l’oignon. Regardant à nouveau son homme, je fus tout excité par son torse velu : — Allez-y, lui demandai-je sans plus attendre, défoncez-moi bien le cul. Son gland frottait désormais sur ma rosette. Louise s’était dégagée et était venue sous moi pour engloutir ma queue. Ce fut l’argument décisif qui m’incita à ouvrir mes fesses. Le gland épais força lentement mon petit trou brun tandis que ma maîtresse me pompait le dard. C’était incroyablement bon d’être enculé et sucé en même temps, je n’avais jamais connu telle expérience. Ce sexe qui me paraissait énorme investit en entier mon fondement : — Alors, petite pédale, comme ça, tu aimes les grosses tétasses de mon épouse. Je veux bien te les prêter si tu me donnes ton petit fion, dit mon enculeur, pour m’humilier. Je vais te remplir l’anus et après tu suceras ma bite. J’en avais déjà la bave aux lèvres… — Oui, je la sens bien en moi, cette grosse queue, ai-je affirmé, j’adore ça, me faire mettre… Ohh, que c’est bon, cette grosse bite dans mon cul… tu me bourres bien ! C’est tellement bon. Il y allait de bon cœur et Louise aussi avec mon bâton qui glissait sans relâche entre ses lèvres, à tel point que je serais bien en peine de dire lequel d’entre nous deux jouit en premier, lui dans mon ...