Fantaisie espagnole et final
Datte: 03/02/2018,
Catégories:
f,
fh,
ffh,
jeunes,
copains,
vacances,
piscine,
forêt,
campagne,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
entreseins,
Oral
pénétratio,
init,
— Maman, on va passer la journée chez Sophie. À ce soir !— Vous ne prenez pas les maillots ?— Bien sûr que si ! J’allais oublier ! Heureusement que tu m’y fais penser, maman. Martine va chercher les maillots. Je ne pense pas qu’ils soient indispensables pour se baigner chez Sophie, mais il faut sauver les apparences. En passant près de moi, Martine qui porte une ample robe d’été un peu longue, boutonnée sur le devant, me souffle : — Je n’ai même pas mis de culotte. L’été, j’aime quand ça respire, tout ça. J’ai une pensée déjà émue pour le "tout ça". Repas de midi sans histoire. Comme il fait très chaud, nous décidons de piquer une tête dans la piscine. — Maman, demande Sophie, ça ne te gêne pas qu’on se baigne à poil ?— Oh mais non, mes enfants. Profitez-en, vous êtes jeunes, vous êtes beaux, c’est maintenant qu’il faut vous regarder, vous montrer, vous découvrir : profitez-en ! Voilà une maman qui connaît la vie. On court vers la piscine en semant nos vêtements derrière nous, et nous profitons de la délicieuse eau tiède. Les deux filles sont accoudées sur le bord de la piscine, et discutent. Je les vois de dos, et leur chute de reins m’attire. Je m’approche d’elles sans bruit et les prends toutes les deux par la taille. — Dis donc, me fait Sophie, on discute entre filles. Va donc nager un peu… Je nage tranquillement, puis m’installe sur un matelas pneumatique, dérivant au fil de l’eau, et je regarde le ciel. Je pense que les deux filles doivent tout se raconter. Je ...
... surprends un regard de la maman de Sophie qui passe derrière la fenêtre ouverte de la cuisine. Mais je ne suis pas gêné de me montrer ainsi, tellement ce regard est naturel et bienveillant. Et je m’engage dans une rêverie… "Vous êtes jeunes, vous êtes beaux, c’est maintenant qu’il faut vous découvrir". Elle doit avoir la quarantaine, et elle est terriblement rayonnante et séduisante. Je me surprends à penser que je ne serais pas mécontent de la découvrir elle aussi. Elle aussi est bronzée, et je pense que, comme sa fille, elle se fait dorer au soleil, complètement nue… Je l’imagine de plus en plus précisément. Au fil de mes pensées, mon sexe commence à se déployer un peu et, les rêveries étant ce qu’elles sont, je bande complètement. Elle passe à nouveau dans l’encadrement de la fenêtre, marque un temps. Elle sourit, puis prévient : — Les enfants, je pars en courses. J’en ai au moins pour deux heures. Elle me fait un petit signe de la main, puis s’efface, comme pour dire "Débrouille-toi avec les petites". Les filles reviennent vers moi en nageant tranquillement, et prennent appui chacune d’un côté du matelas pneumatique. — Oh ! Qu’elle est belle comme ça, souffle Martine en donnant une petite caresse à ma queue.— Eh bien mon salaud, me dit Sophie, à quoi tu pensais, vieux cochon ? Je fais un pieux mensonge : — Mais à toi, ma toute belle ! Je ne peux pas lui dire que je pensais à sa mère ! Et lorgnant ses seins généreux, tout près de moi : — Je pensais à tes seins, et à tout ce que ...