Fantaisie espagnole et final
Datte: 03/02/2018,
Catégories:
f,
fh,
ffh,
jeunes,
copains,
vacances,
piscine,
forêt,
campagne,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
entreseins,
Oral
pénétratio,
init,
... j’avais envie de faire avec…— Quoi donc, par exemple ? demande Martine avec une fausse innocence, tout en poursuivant ses douces caresses.— Les prendre dans mes paumes, les presser, les caresser, prendre les pointes dans ma bouche, les titiller avec ma langue…— Tu connais la branlette espagnole, me demande Sophie.— Non, c’est quoi ?— Eh bien, imagine, une queue, des seins, me dit-elle en pressant ses seins l’un contre l’autre… Et brusquement, les filles enfoncent le matelas dans l’eau, et s’éloignent en riant et en courant dans l’eau. Je manque boire la tasse et cours après elles. Je rattrape Sophie, la serre contre moi, ma verge contre ses fesses, mes mains sur ses seins. Ils sont effectivement superbes, fermes, denses… Elle s’échappe, sort de l’eau, court dans l’herbe. Je la poursuis, réussis à la plaquer, la retourne, et me mets à califourchon sur elle. Elle se débat en riant. Martine me vient en aide en plaquant les épaules de Sophie au sol. Je mets ma queue entre les seins de Sophie, et les serre contre elle. C’est très doux. J’entame alors un mouvement de va-et-vient. Sophie ne rit plus, mais elle agrippe mes fesses pour accompagner le mouvement. Martine participe en se caressant elle-même les seins. J’explose assez rapidement, vu le cumul d’excitation. Alors Sophie, doucement, étale le sperme sur son menton, ses seins. Martine me fait reculer, prend ma verge dans sa bouche, comme pour aspirer les dernières gouttes, puis en caresse son visage et ses seins, et elle ...
... prend ma place sur son amie, se couche sur elle, frottant ses seins contre elle pour s’enduire également de sperme. Elles se séparent. On reste tous les trois un peu hébétés… — On n’arrête pas le progrès, murmure Martine… On batifole encore un peu dans la piscine, mais le soleil tape vraiment trop fort, et il faudrait un endroit plus frais. On se rhabille, on prend les vélos, et on part vers les bois. On laisse les vélos dans un fourré, et on s’engage à pied sur un sentier qui monte à travers bois. Il fait chaud, je suis torse nu depuis un moment. Martine a déboutonné presque tous les boutons de sa robe, et Sophie, elle, a enlevé son débardeur. Elle ne porte qu’un petit short bien moulant, laissant voir le globe de ses fesses. Nous arrivons dans une clairière. Il fait plus frais, on y sera bien. Martine étale une couverture par terre. Les deux filles s’agenouillent l’une près de l’autre, m’appellent vers elles. Je m’approche. Elles font glisser mon short et mon slip. Et puis elles m’entreprennent à coup de petites caresses, petits baisers, petites lèchouilles sur ma verge qui réagit rapidement. Sophie la prend une fois complètement dans sa bouche, puis Martine. Pendant que Martine, toujours à genoux, enserre mes fesses d’un bras, la joue contre mon bas-ventre, l’autre main caressant doucement mes testicules, ou portant ma verge vers ses lèvres pour un petit bisou, Sophie se met nue en me regardant dans les yeux, s’étend par terre, cuisses largement écartées, genoux fléchis. Alors ...