1. Fantaisie espagnole et final


    Datte: 03/02/2018, Catégories: f, fh, ffh, jeunes, copains, vacances, piscine, forêt, campagne, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation entreseins, Oral pénétratio, init,

    ... Martine se lève, me prend par la main, et me fait agenouiller devant le sexe ouvert qui m’appelle. Elle-même enlève sa robe, et va s’agenouiller de part et d’autre de la tête de Sophie, et va doucement lui caresser les seins. Alors je me penche, et vais baisotter cette vulve largement offerte, l’explorer à petits coups de langue, m’insinuer jusqu’au bouton magique, puis remonter vers le petit triangle de poils délicatement taillé, revenir, remonter au ventre, un petit coup de langue au nombril, puis baisotter encore les seins. Sophie se retourne brusquement, et je caresse et lèche son dos, ses fesses, elle dresse sa croupe et je la baise entre les fesses, baisotte et caresse son petit trou à petits coups de la pointe de la langue, à nouveau une vulve déjà trempée, et je l’embrasse comme une bouche, à pleine bouche, à pleine langue… Et elle reprend la position sur le dos, les cuisses écartées aux limites du possible, hanches et genoux fléchis. Je me glisse entre ses cuisses, et tout naturellement mon gland se trouve à l’entrée de la grotte tant souhaitée, toute lisse, toute chaude, toute humide. Très doucement, comme pour déguster l’instant, je pénètre en elle, au plus profond que je peux, et je reste, à l’affût des sensations délicieuses. La base de ma verge est enserrée par son vagin, et je suis dans la douceur la plus extrême. Sophie ...
    ... m’enserre avec ses bras et avec ses jambes, elle serre fort, fort… Et puis l’étreinte se desserre, et j’entame le mouvement de va-et-vient, très lent, dégustant chaque parcelle de plaisir tout au long de mon sexe, elle a pris mes fesses, comme pour m’aider à enfoncer plus loin, plus fort… À chaque va-et-vient son vagin se resserre, comme pour me retenir. Et je continue. C’est si bon, que je voudrais que cela dure, dure… Sophie commence à gémir doucement, elle a l’air si bien, si heureuse… Martine, elle, toujours à genoux et cuisses largement écartées, se caresse, à deux mains, errant du clitoris au vagin, aux seins, au petit trou, aux fesses… Et moi, dans Sophie, je vais et je viens, lentement, voluptueusement. Et puis quand je sens la tension monter de façon inéluctable, j’accélère le mouvement presque avec violence, arrachant de petits cris étouffés à Sophie qui me serre à nouveau, serre, serre, me retient tout à coup au fond d’elle, puis est prise d’un grand frémissement qui me libère. J’explose en elle avec une jouissance comme je n’en n’ai jamais connue, en spasmes quasi convulsifs. Elle me serre avec ses bras, ses jambes - je comprends l’expression "ne faire plus qu’un" - et me serre encore et encore. Je ne me souviens plus combien de temps après nous avons desserré notre étreinte. — Eh bien, tu vois, me dit Martine, tu n’es plus puceau. 
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