Chatte chaude ne craint plus rien...
Datte: 04/02/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... Quand il propose son jeu de cartes, à la différence de Valentin, je comprends où Gabin veut en venir. Est-il l’amant d’Albine ? En fin de compte, peu m’importe, c’est moi qu’il veut, et son désir de moi, sa manœuvre évidente pour accéder à mon corps, m’excitent… Je ne vais pas lui résister… Après tout, Gabin ne sera pas, de loin, mon premier amant… Valentin ? Je lui ai relaté, très sommairement, certaines de mes « errances conjugales » (pas toutes, trop de sincérité tue la sincérité…), et il ne m’en a pas tenu grande rigueur (en fin de compte, ça l’a même plutôt excité, je n’ai pas regretté ma –relative- franchise…). Mais maintenant, c’est une « première » pour Valentin et moi, car il ne s’agit plus de baise volée, mais exhibée… Aussi, j’approuve sa proposition par un petit sourire complice, puis je prétexte un besoin pressant pour aller dans la salle de bain et retirer mon soutien-gorge. Quand je reviens, les seins libres, ballants, les tétons pointant sous mon t-shirt, je vois briller les yeux de Gabin… Valentin, souriant un peu naïvement, ne remarque rien… Le jeu se met rapidement en place. La chaleur ambiante et l’alcool font qu’aucun de nous quatre ne rechigne à retirer, l’un après l’autre, ses vêtements. Quand j’en viens à retirer mon t-shirt et que mes seins jaillissent, libres, je lis de la surprise dans les yeux de mon mari, qui commence à comprendre mes intentions, et une concupiscente admiration dans le sourire de Gabin… Quand il contemple mes seins, on dirait que ...
... ses yeux bandent, comme ceux du loup de Tex Avery, ce qui me remplit de satisfaction, me fait frissonner et humidifie mon intimité… Accoutumée à la nudité asexuée ( ?) du sauna, j’aime ma semi-nudité, impudique, l’air caressant ma poitrine arrogamment exposée aux regards des deux hommes… Manifestement, Valentin n’est pas le seul à aimer mes seins… Les yeux de Gabin me caressent comme le feraient des mains, et c’est délicieux… Assez rapidement, nous nous retrouvons, tous les quatre, nus comme des vers. Je vois Valentin qui, d’un œil de voyeur timide, contemple Albine… ses petits seins, ses petites fesses… C’est bien… quand Gabin et moi irons baiser, mon mari pourra se consoler avec Albine ! Après avoir jeté un bref regard à Valentin, Gabin me demande: « — On danse ? ». Je me lève et le rejoins sur le parquet. Il m’enlace, me serre contre lui. Je mets mes mains autour de son cou, appuie mes seins contre son torse… C’est bon… je sens son sexe durement arqué cogner contre mon ventre, comme pour lui demander le droit d’entrer… Je caresse sa nuque, pour lui signifier ma reddition. Ses mains me caressent le dos, descendent lentement vers mes fesses, les pressent pour appuyer mon ventre contre sa queue. L’une d’elles remonte et se glisse sous mon aisselle pour s’emparer d’un sein, en accueille le poids, en savoure la douceur, titille son téton, s’amuse avec lui… J’en frissonne, je halète… Puis sa main quitte ma poitrine pour descendre vers mon pubis. Son pouce joue avec mon clitoris, ...