1. Une nouvelle voisine (1)


    Datte: 04/02/2018, Catégories: Lesbienne

    ... pouvais la prendre comme passagère quelque temps, son bus pour le campus faisant un trop grand détour. J’acquiesçais sans difficulté tant j’étais contente d’un peu de nouveauté dans ma vie. Nous échangeâmes quelques banalités sur la ville et le trajet, une conversation ma foi assez agréable même si entrecoupée de quelques silences quand des personnes se découvrent doucement. Au moment de sortir, elle se tourna vers moi, posant machinalement sa main sur mon genou, me remercia et confirma l’heure de retour pour le soir. Je ne fis pas, n’osais pas, de réflexion quand ce machinalement se répéta le soir même puis lors des trajets du lendemain. Sandrine était jeune, tactile, embarquée dans nos conversations qui devenaient plus intéressantes chaque jour. Le lendemain, ce fut au bout d’un bon kilomètre qu’elle posa sa main sur mon genou, avant de commencer à parler. Le geste était si naturel, si dans le feu de la discussion que je n’osais pas lui dire que le contact me gênait un peu tant sa paume de main me semblait brûlante. Et puis, et puis chaque jour elle posa sa main sur mon genou, plus tôt et plus bas. Je devenais folle, attendant ce contact avec fébrilité, tâchant de deviner quand elle oserait le faire, où elle oserait placer sa main. J’avais quand même compris que c’était purement intentionnel de sa part, mais je n’arrivais pas à lui dire quoi que ce soit. Comprenez-moi, je n’étais pas une oie blanche, une frustrée à vivre seule avec dix chats, mais son attention, son ...
    ... naturel, son... Oui, son charme ; je me sentais au bord d’un précipice, me demandant ce qui me prenait. Hésitant à la remettre à sa place, ou lâchement à démarrer devant elle ; je dormais mal ; n’osant m’avouer que je tombais doucement sous son charme. D’ailleurs que voulait-elle ? Elle agissait si naturellement et en même temps c’était tout sauf anodin. J’en devenais tendue, nerveuse comme quand on sent que sa vie change, j’essayais d’analyser ce qui m’arrivait. Surtout, avouons-le, je commençais à fantasmer sérieusement sur elle. Ainsi, un soir sa main était posée au bas de ma cuisse, le bout de ses doigts carrément sur le haut du pubis. Cette main qui ne bougeait pas, si chaude, conjuguée à une conversation sur l’histoire des Templiers, faisait que j’avais un mal fou à gérer la route. Une fois chez moi, je me retrouvais sous la douche, totalement excitée, jouant avec le jet d’eau multiréglable, affalée dans le bac, passant le jet continu doux, sur mes lèvres intimes, puis l’eau pulsée sur mon petit bouton rose gonflé avant de continuer avec le jet soufflé moussant (mon préféré ). Je me fis jouir tout en me caressant les pointes des seins avec frénésie, incapable de me sortir Sandrine et son regard intense de la tête. C’est l’eau froide qui me chassa de la douche. De la douche mais pas des envies... Même pas sèche, je me ruais sur mon lit, récupérant au passage mon gode vibrant dans ma table de nuit (hé, je suis une femme moderne) et me fis jouir en me caressant, me pistonnant le ...
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