1. Une nouvelle voisine (1)


    Datte: 04/02/2018, Catégories: Lesbienne

    ... seins durs aux tétons pointés vers moi. Ses mains empoignaient mes fesses, passant partout, me donnant l’impression que plusieurs mains s’activaient sur mon corps. Je parvins je ne sais comment, à quitter sa bouche entre deux baisers pour happer un téton et le mordiller, le lécher dans une frénésie de plaisir. Je la sentis se raidir, toute de tension et, dans le même temps, introduire un doigt dans mon intimité ruisselante qui me fit à moitié m’effondrer tant le plaisir était fort, tant la sensation d’être enfin moi était forte. Je ne sais plus comment nous nous retrouvâmes presque au sol, est-ce mes jambes qui flanchèrent, les siennes ? Le plaisir qui nous terrassa ? Je l’ignore Je sais juste que cela nous permit de reprendre vaguement conscience, de rassembler un peu de force pour nous traîner sur le canapé du salon tout proche, ma chambre se situant dans mon esprit à des années-lumière de nous et de l’urgence qui nous animait. Les trois mètres à faire pour nous effondrer dans mon vieux canapé douillet furent les plus longs de mon existence, mais ces trois mètres furent aussi le déplacement le plus sensuel, le plus excitant de celle-ci... Le chemin fut aussi semé d’embûches, la colline où je perdis les derniers restes de mon tanga, la montagne où son jeans la quitta enfin, le précipice où elle perdit sa petite culotte, le ravin où mon t-shirt fut perdu et enfin, l’Everest où mon soutien-gorge fut ouvert et écarté. Quel chemin épique que celui qui nous conduisit sur mon ...
    ... canapé où on s’affala comme deux créatures marines sur une plage après l’ouragan. Mais la tempête n’était pas finie et nos mains, nos langues continuaient la sensuelle bataille. Je caressais sa petite chatte, le fin triangle soyeux qui conduisait à une ouverture inondée, avant d’y plonger rapidement deux puis trois doigts en une frénésie de désir ! Elle n’était pas en reste, me donnant le même plaisir un peu brutal que nos corps, nos esprits enfiévrés par toute cette attente désiraient tant. Pendant que je happais un peu d’air, elle en profita pour saisir mon téton érigé avec sa bouche, mordillant, léchant, bavant sur mon sein juste échappé de mon soutien-gorge pendant sur le côté. C’était si bon, si extatique, comme le navigateur qui rentre d’une circumnavigation pleine de tempêtes, mais d’un tour de la terre qui aurait pris plus de vingt ans... Oh Ulysse comme je te comprends maintenant ! Nos corps moites, en sueur, nos rapides regards enfiévrés, des caresses toujours plus excitantes qui font monter le plaisir, ses lèvres gonflées, ma lèvre un peu saignante dans un choc avec une de ses dents, ses doigts magiques, sa petite grotte dégoulinante, son odeur, son goût sur mes doigts, sur ses doigts, nos saveurs mélangées, ce plaisir qui monte, qui monte, cette certitude que non, jamais je n’ai ressenti quelque chose de si fort, et qu’en même temps que ce n’est que le commencement. Nos corps qui se frottent, se frottent, nos mains, nos doigts partout, et puis, nos yeux qui se ...
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