Executive woman (1)
Datte: 05/02/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... trottoir, et m’attendait pour la suite de ses aventures. Il semblait aussi désabusé que moi. Du salon me parvenait la discussion. Cela me perturbait. Cela m’énervait. Mon héros allait casser du jeune cadre dynamique. Deux heures s’écoulèrent pendant lesquelles je tapai deux pages. Le silence semblait avoir réintégré mon domicile. Les blaireaux avaient dû partir. Je sortis et rejoignit le salon. Ma femme, les seins en avant, assise sur le canapé, la jupe remontée à la limite de la pudeur, discutait avec son adjoint. Ils se tournèrent vers moi. — Chériiiii ! Pourrais-tu nous servir un verre, ce serait chou de ta part. Nous étudions encore la tactique avec Rodolphe. Le Rodolphe en question me sourit béatement, en ramenant sa mèche. — Oui, m’dame, dis-je en traînant ostensiblement les pieds pour gagner le bar. Whisky ? On the rocks ? Je ramenai trois verres. Je surpris le regard de Rodolphe sur l’opulente poitrine de ma femme. Deux seins pleins, lourds, aux tétons agressifs, aux petites aréoles. Deux seins que j’aimais soupeser, pétrir, lécher, téter. Nul doute sur les intentions de Rodolphe. Elle se laissait admirer. Elle aimait ça. À chaque fois qu’un type louchait sur sa poitrine, elle bombait le torse. Elle est comme ça ! Je repartis chercher la bouteille et revint pour surprendre cette fois le regard de Rodolphe sur les cuisses à peine couvertes. La limite des bas était proche. — Merci mon chéri, nous l’avons bien mérité tu sais. Nous allons gagner, c’est certain. ...
... N’est-ce pas, mon Rodolphe ? dit-elle en posant sa main sur la cuisse de son adjoint. — Pas de doute là-dessus. — Je suis tellement excitée à l’idée de cette OPA ! J’adore ça, c’est presque physique ! Sa main restait sur la cuisse. Comme dans un état second, je vis sa main plonger dans l’entrejambe de Rodolphe, et ses longs doigts aux ongles vermillon enserrer une belle queue bien raide. « Un mirage, je suis victime d’un mirage dans mon salon » pensai-je, alors que la main coupable levait le verre et que sa propriétaire portait un toast. À la victoire ! Nous trinquâmes à la victoire de demain. — C’est un vrai bonheur de travailler avec toi, dit Rodolphe, je sais que demain, tu seras convaincante et impériale. Je suis certain que tu vas les tétaniser ! — Oh oui, dit ma femme en s’adossant dans le fauteuil de cuir blanc, je vais les flinguer tous, l’un après l’autre. Son mouvement avait remonté sa jupe déjà courte, et l’on voyait maintenant la chair de ses cuisses entre les bas et la jupe. Rodolphe regarda sa main vers le genou gainé de soie, en répétant que la victoire lui serait entièrement due. — Votre femme est tellement séduisante que personne ne lui résiste, me dit Rodolphe les yeux dans les yeux. — Je suis bien d’accord avec vous, c’est comme ça qu’elle m’a eu ! Et il semble que vous ayez les mêmes symptômes que moi ! — Oh, les mecs, arrêtez, vous allez me faire rougir, ronronna-t-elle. Ses seins menaçaient toujours de faire exploser le chemisier pourtant déjà généreusement ...