Executive woman (1)
Datte: 05/02/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... mari ? dit-il en baisant encore ma bouche. — Oui, lâcha-t-elle en caressant ma hampe luisante de sa salive, mais attends un peu. Elle s’agenouilla sur le canapé à ma gauche et m’offrit la vue sur son sexe. De ses doigts elle écarta largement ses lèvres. Elle attira ma tête entre ses cuisses et me la plaqua contre sa vulve ravagée par le désir. Je la vis embrasser Rodolphe à pleine bouche et enrouler ses doigts autour de sa hampe. — Oh chéri, chéri, fais-nous jouir ! Je m’activais, comme fou. Mes mains caressaient les deux fessiers si sensuels. J’avais ces deux corps pour moi. J’alternais et allais d’un sexe à l’autre. Rodolphe caressait la généreuse poitrine. — Allez, dit-elle en s’asseyant, Rodolphe, il est à toi ! Rodolphe redescendit aussi. Barbara m’obligea à relever mes cuisses pour les ramener sur mon ventre. Sa main partit entre mes fesses. Je sentis son majeur se glisser dans ma raie grande ouverte et ne pus retenir un gémissement de plaisir. Elle savait que j’aimais les caresses sur mon œillet lisse. Elle suça son doigt, l’enduisit de salive et le poussa en moi. — Je vais te le préparer et tu vas l’enculer sauvagement, n’est-ce pas mon Petit Prince ? — Tout ce que tu veux, dit-il en lui malaxant un sein. Je gobai le second pendant que ses doigts élargissaient mon conduit. Après quelques minutes, elle me déclara apte et invita Rodolphe à me baiser. Celui-ci s’agenouilla devant moi et me saisit aux hanches. Je sentis la belle queue guidée par la main salope de ...
... Barbara, se placer contre mon œillet. — Vas-y ! Rodolphe poussa et son gland me baisa, puis je sentis toute sa queue m’envahir. Je gémissais de plaisir. Barbara regardait attentivement la bite de Rodolphe plantée entre mes fesses. Il se pencha pour lui gober un sein, pendant qu’elle se baisait avec les doigts. Elle se leva et posa ses pieds sur le canapé autour de moi, tournant le dos à Rodolphe. Au-dessus de moi, je le vis tendre sa langue entre les fesses qu’elle écartait d’une main. — Oh oui, cria-t-elle, ta langue, mets-moi ta langue. Rodolphe lapait la chatte et la raie, sans cesser de me sodomiser de plus en plus férocement. Elle se laissa ainsi dévorer un long moment. Rodolphe était endurant. Quel amant ! Soudain, Barbara plia les genoux et s’accroupit, sa chatte coulante au-dessus de mon gland qui se liquéfiait. — Petit Prince, encule-moi aussi ! Rodolphe sortit de moi et je sentis qu’il la pénétrait. Les yeux de Barbara s’agrandirent au fur et à mesure que la queue l’embrochait. Elle effleurait mon gland avec sa chatte qui coulait sur moi. Rodolphe se cramponnait à ses hanches. Le balancement de sa généreuse poitrine témoignait de la vigueur des coups de reins. Je les entendais gémir tous les deux. Je me caressais la hampe. Mon jus dégoulinait sur ma main. Je pris un téton en bouche. — Aaaaah, putain que c’est bon, rugit-elle en s’asseyant sur ma queue ! Je sentis, à travers la mince paroi de son corps, le gland de Rodolphe qui allait et venait. C’était divin. Les secousses ...