Le Boss - Chapitre 4
Datte: 06/02/2018,
Catégories:
f,
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
fépilée,
lunettes,
piscine,
hotel,
fsoumise,
hsoumis,
fdomine,
hdomine,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
sm,
confession,
... vigueur. Je l’ignorai et laissai mon coup d’un soir se serrer de nouveau contre moi. Il avait sorti son sexe sur le côté de son caleçon et se frottait à mon ventre, bandant à n’en plus pouvoir. Il glissa une main sous ma cuisse gauche et me souleva un peu, aidé par la faible pesanteur artificiellement générée par l’eau. Tirant le string pour en dégager mon sexe, il vint placer son gland à l’orée de ma fente et tenta de pousser. Je l’évitai. — Tu… ne veux pas ?— Tu as déjà essayé de baiser dans l’eau ?— Non.— Eh bien ça ne marche pas ! L’eau rentre dans le vagin et enlève toute lubrification, et le chlore irrite. Ça a peut-être l’air sympa dans l’idée mais c’est juste une connerie qui fait mal. Il avait l’air tout penaud. Je le branlai doucement et me laissai immerger face à lui. Les yeux fermés, je descendis le long de son ventre jusqu’à trouver son sexe tendu que je fis glisser jusqu’au fond de ma gorge. En apnée, je commençai à le sucer. Je tenais fermement ses couilles d’une main, accrochée à sa fesse de l’autre pour ne pas remonter. J’ai tenu une trentaine de secondes avant de prendre à la surface une grande goulée d’air, et j’y suis retournée. J’ai toujours aimé avoir la queue d’un garçon dans la bouche. Je sais qu’à ce moment ils sont vulnérables, je peux en faire ce que je veux. C’est moi qui décide s’ils vont jouir ou non, et quand. À la troisième plongée, j’estimai qu’il était temps. D’autant que ces putains de lentilles me brûlaient les yeux. J’aspirai plus fort, ...
... plus vite, et serrai la base sous les couilles. Lorsque je sentis la vibration annonciatrice de l’éjaculation, je me retirai. Je n’ai rien contre le fait d’avaler un peu de sperme, mais boire en même temps la tasse dans une piscine, fût-elle sublime, non ! Le jet blanchâtre se perdit dans l’eau et remonta lentement vers la surface. Mon coup du soir avait un visage extatique. Je lui décochai mon plus beau sourire. — Tu vois : baiser dans l’eau, non. Sucer, oui. Enveloppés dans nos peignoirs, nous sommes redescendus à la chambre. La fille du spa était toute rouge lorsqu’elle nous a souhaité une bonne nuit. Un Varmois lui aurait sans doute proposé de nous suivre, histoire de l’enculer devant moi. Mon compagnon n’était pas du même acabit, et il se contenta d’un bonsoir aimable. Je ne sais même pas s’il avait remarqué que la fille avait pris grand plaisir à nous observer. Le champagne était resté au frais dans son seau et il tombait à pic. Le temps de passer sous la douche et nous étions déjà sur le lit, une flûte à la main. J’étais alanguie, sur le dos. Mon Roméo laissait courir ses mains sur mon corps. Il avait l’air d’apprécier particulièrement ma poitrine et la couvrait de baisers. J’adore mes seins, joliment dessinés, ni trop gros ni trop petits, fermes et pleins, et surtout très sensibles aux caresses. Je me fis la réflexion que Varmois n’y avait jamais touché. Mon patron ne s’était jamais préoccupé que de mon cul. Mais pourquoi pensais-je encore à ce sale type, alors que ...