1. Le Boss - Chapitre 4


    Datte: 06/02/2018, Catégories: f, fh, hplusag, Collègues / Travail fépilée, lunettes, piscine, hotel, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, sm, confession,

    ... j’étais avec un mec parfait qui redescendait docilement lécher ma fente ? Quelques coups de langue préparatoires, je le voyais bien à la quantité de salive qu’il s’appliquait à déposer entre mes lèvres. Puis il souleva mes deux jambes, et me pénétra doucement, sans à-coups. C’était agréable. Et encore plus amusant lorsque je levai les yeux vers son regard anxieux : ce bon garçon, attentif à bien faire, ne voulait surtout pas me décevoir. Je lui souris, donnant implicitement le signe du départ, et il s’activa à me baiser. Lentement d’abord, fougueusement ensuite. Je me laissais bercer par ses coups de reins, je l’encourageais de petits soupirs. Mais je ne ressentais pas grand-chose. Moi d’habitude si prompte à savoir aller chercher mon plaisir, j’étais bloquée. Dans ma tête voguait l’image de la bite épaisse de Varmois alors que résonnait sa voix paradoxalement chaleureuse et autoritaire. Je me haïssais. Je le haïssais.« Léa Lomont ne dépend de personne. » Mon partenaire m’avait fait basculer sur le côté. Il s’activait toujours avec application, soucieux de me faire jouir. Puis il me fit pivoter de nouveau jusqu’à me mettre et levrette. Il caressait mon dos, embrassait mes fesses qu’il écarta pour glisser sa langue dans la raie, gratifier mon anus d’un profondfrench-kiss, descendre le long de la fente jusqu’à toucher de la pointe mon clitoris. Sa queue retrouva le chemin de mon sexe et il me pénétra de nouveau, malaxant mes fesses à pleines mains. La tête et les épaules dans ...
    ... les coussins, mes longs cheveux noirs coulant sur les draps blancs, les fesses relevées, j’étais le fantasme de tout homme. D’habitude j’adorais ce moment, et l’excitation que je devinais chez mon partenaire provoquait ordinairement la mienne. Mais cette fois, rien. Le vide. Je sentais les va-et-vient souples et efficaces de son sexe dans le mien mais mon corps y était indifférent. Et je savais. Je savais que son regard était braqué sur mon trou du cul. S’il avait un peu d’expérience, et je n’en doutais pas, il pouvait voir immédiatement que les lieux avaient été souvent visités. Sa langue s’y était tout à l’heure à demi enfoncée sans difficulté, et ma rondelle devait cligner lorsqu’il écartait mes fesses. Inexplicablement, j’en étais morte de honte. Varmois m’avait marquée aussi sûrement qu’avec une fleur de lys sur l’épaule : j’étais une enculée. Une réaction paradoxale : si avant Varmois je ne pratiquais pas l’amour anal, je n’avais pourtant nul jugement sur les femmes qui, selon quelques confidences recueillies des soirs d’alcoolémie, y trouvaient le plus grand plaisir. Une copine de fac, aux États-Unis, ne jurait que par son petit trou, meilleur moyen selon elle d’atteindre un orgasme total. Je l’avais enviée. Tout moyen d’atteindre l’orgasme doit être célébré. Alors pourquoi ce mépris pour moi-même ? Pourquoi me sentais-je rabaissée par l’idée de la sodomie ? Varmois, bien sûr. Je dois maintenant être tout à fait honnête. Longtemps je n’ai rien ressenti d’autre qu’une ...
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