Le Boss - Chapitre 4
Datte: 06/02/2018,
Catégories:
f,
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
fépilée,
lunettes,
piscine,
hotel,
fsoumise,
hsoumis,
fdomine,
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Masturbation
Oral
pénétratio,
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confession,
... vague gêne et parfois une petite douleur lorsque la queue de mon patron pilonnait mon rectum. Mais sur les derniers temps, la chose est devenue différente. Ce n’est pas un hasard si je me suis décidée à lui dire non. Au fil des sodomies, ma sensibilité s’est accrue, j’ai parfois eu l’impression de découvrir un point G dans mon cul ! Les derniers jours, ce n’est qu’au prix de grands efforts que je n’ai pas joui lorsque Varmois se glissait entre mes fesses. J’ai refusé de lui montrer qu’il pouvait me donner du plaisir, alors qu’au fil des semaines il avait su faire de mon étroit conduit un objet de félicité non seulement pour lui, mais aussi pour moi. Inacceptable. Mon Roméo ne s’y trompait pas. Comme par inadvertance, son pouce s’égarait sur mon anus, exerçant des pressions de plus en plus insistantes. Il descendait sur mon sexe chercher des sécrétions lubrifiantes et les remontait à mon cul, mine de rien. Je connaissais bien ce petit jeu préparatoire pour avoir souvent eu à y mettre fin, lors de mes précédentes relations. Cette fois indécise, je le laissai continuer. Il allait bientôt me poser la question. Ou tenter une entrée discrète. Une part de moi avait envie de le sentir investir mes entrailles, mais la fière Léa Lomont ne se laissait pas sodomiser par des inconnus. D’un autre côté, la fière Léa Lomont prenait son pied comme elle l’entendait, sans avoir à se soucier des autres. Après tout ce type n’était qu’un gode vivant, je me le mettais où je voulais. Ma décision fut ...
... prise. — Encule-moi. Un homme résiste rarement à ce genre d’injonction. Une microseconde après que j’aie parlé, sa queue se présentait devant mon anus, frottant son gland en petits mouvements circulaires de politesse.« Pas de ça mon garçon, je veux de la franchise ! » Je me suis projetée en arrière, m’empalant au plus profond d’une seule poussée. Oui, c’était ça que mon corps désirait, une plénitude anale. Mon partenaire l’avait vite compris, et il m’investissait maintenant sans retenue. Il devait se dire que j’étais une sacrée salope. De mon côté, les idées se mettaient enfin en place. Cette bite de passage était en train de rompre la malédiction que mon patron faisait peser sur moi depuis si longtemps. Je me dégageai, me resservis du champagne et changeai de position. Tout était clair. La queue de Roméo reprit docilement le chemin de mes entrailles alors que je vidais ma flûte à petites gorgées, un sourire aux lèvres. J’eus ce soir-là un orgasme tout à fait satisfaisant. Mais j’avais surtout réalisé comment résoudre l’équation Varmois. C’est pour ça que je suis aujourd’hui à la porte de son bureau, lubrifiée et décidée. — Eh bien Léa, je ne vous ai pas fait appeler…— En effet Monsieur. Je viens me faire enculer.— Pertinente initiative, Léa. Il n’a pas l’air surpris. Je me demande ce qui pourrait étonner Jean-Luc Varmois, l’homme qui reste maître de lui en toutes circonstances. Il n’affiche pas non plus de sourire supérieur ou satisfait, il est juste courtois. Il n’a pu que ...