Mémoires de vacances
Datte: 08/02/2018,
Catégories:
ff,
ffh,
hplusag,
jeunes,
copains,
fépilée,
bain,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
Quelques semaines après, Vanessa est de retour, toute bronzée, radieuse : — Il faut que je te raconte…— Moi aussi… Nous nous mettons au lit, dans sa chambre, et elle commence son récit : — Un après-midi, j’ai flâné dans la campagne environnante. Il faisait beau, un peu trop chaud peut-être, je ne portais qu’une jupe légère et un débardeur de coton sous lequel mes seins étaient nus. Je gambadais, heureuse, en direction d’un petit bois dans lequel je savais qu’il y avait une petite rivière. Au détour d’un chemin, j’ai rencontré Laëtitia, une copine d’enfance que je n’avais pas revue depuis deux ou trois ans. Nous avons bavardé un bon moment. C’est une fille sympa, grande, mince, les cheveux mi-longs, noirs et lisses. Nous avons marché côte à côte, et je lui jetais, mine de rien, des regards furtifs. Non que je ne l’aie jamais détaillée, nous avions déjà fait du bronzage toutes les deux, mais je la trouvais franchement très belle. J’avais l’impression de penser comme une vraie gouine. La présence de Laëtitia près de moi, ses seins menus qui sautillaient à chaque pas, sous son tee-shirt blanc, commençaient à me faire mouiller. Les battements de mon cœur se sont accélérés, lorsqu’elle m’a saisi par la taille, m’entraînant sur l’accotement herbeux du chemin. Son bras autour de ma taille, nous nous sommes regardées dans les yeux. Elle a souri, puis m’a attiré contre elle ; posant ses lèvres sur ma bouche, elle a cherché aussitôt ma langue, qu’elle a enveloppée de la sienne, ...
... incroyablement douce et mobile, cela tout en me pétrissant un sein, par-dessus mon débardeur. Je me suis mise à haleter, tandis qu’elle m’entraînait derrière un bosquet d’arbres. Elle m’a ôté mon débardeur, libérant mes seins. Elle les a saisis pour les soupeser, a passé sa langue entre eux, puis elle les a comprimés et léchés, avant de m’exciter les bouts. Allongé sur le lit à côté d’elle, je caresse les seins de Vanessa, tandis que je sens mon sexe qui durcit. — J’ai renversé ma tête en arrière, et me suis mise à gémir sous l’action de la langue qui agaçait mes tétons, des dents qui les mordillaient, à la limité de la douleur. Elle a passé sa langue sous mes seins, pinçant mes tétons avec ses ongles ; le plaisir et la douleur se sont confondus. Je mouillais beaucoup, je ne pouvais m’empêcher de frotter mon entrecuisse sur son genou nu, plié et relevé. Je suis parvenue à glisser une main sous son tee-shirt et à lui saisir le bout d’un sein, dont la pointe dure était très longue. Cela m’a rendue folle de désir, de savoir qu’elle avait comme une petite bite au bout des seins. J’ai commencé à les lui pincer, à les tordre, à les étirer ; elle a cessé de me peloter, et elle s’est abandonnée entre mes mains. La sachant à ma merci, je lui ai enlevé son tee-shirt, sa jupe de coton, pour découvrir que tout comme moi, elle ne portait aucun dessous. J’enfonce deux doigts dans la chatte de Vanessa, elle gémit et reprend son récit. — J’avais posé un genou à terre, et je me gavais de l’odeur qui ...