Mémoires de vacances
Datte: 08/02/2018,
Catégories:
ff,
ffh,
hplusag,
jeunes,
copains,
fépilée,
bain,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
... s’échappait des poils frisés de sa moule. J’apercevais sa fente, où pendaient deux langues de chair froissées. Je les ai tirées de chaque côté, et sa chatte s’est ouverte, me dévoilant l’orifice du minou qui dégorgeait de mouille. Lui écartant les cuisses davantage, j’ai enfoui mon visage dans son entaille, reniflant le fond de la fente, lapant sa mouille odorante. Je tenais Laëtitia par ses fesses, qu’elle avait petites et dures. Elle se tordait de plaisir sous l’action de ma langue et de mes dents qui lui malmenaient le clitoris, bandé et très long. Elle gémissait, pleurait, me suppliant de lui manger toute la chatte ; elle avait trop envie de sentir ma langue dans sa chatte. Moi aussi, j’avais envie de sa langue dans ma chatte ; alors je me suis dévêtue prestement et je lui ai montré la position. Complètement nues toutes les deux, nous nous sommes mises tête-bêche ; j’ai senti le souffle tiède de Laëtitia sur le fond de ma fente trempée. Quant à moi, tout en enfonçant le bout de ma langue dans son minou, je voyais son cul, la rosette ridée de son anus anormalement large ; pas ouverte, mais très large. J’ai abandonné momentanément sa cramouille pour lui ouvrir le trou avec mes pouces. La muqueuse, à l’intérieur, était comme les lèvres de sa chatte, très brune. Pendant que je lui léchais l’anus, elle a enfoncé trois doigts dans mon minou, et en même temps, elle s’est mise à faire rouler mon clitoris entre ses dents. La sensation était trop forte, j’ai joui sur son menton. ...
... Pour la remercier, je me suis mise à lui travailler le bouton avec les dents, tout en lui masturbant les deux orifices. Deux doigts allaient et venaient dans sa chatte, trois autres coulissaient dans son cul. Rien que de sentir ses odeurs et de voir comment elle se tordait sous mes caresses, cela m’a fait de nouveau partir. Sa langue est revenue me fouiller le con, j’entendais le bruit qu’elle faisait dans mon orifice, tandis que la bouche encore pleine du goût de son anus, je lui mâchouillais les petites lèvres. Nous sommes parties ensemble, tendues à l’extrême. J’ai senti son minou palpiter, ainsi que son anus sur mon nez. La salope jouissait des deux côtés. Anéanties par la jouissance, nous nous sommes laissées aller sur l’herbe, tournées l’une vers l’autre. Elle m’a embrassée sur la bouche, et m’a dit que c’était vraiment bon, ce que je venais de lui faire. Elle a ajouté que c’était la première fois qu’elle se faisait prendre des deux côtés en même temps. Dans un souffle, tandis que l’on s’embrassait, je lui ai proposé d’aller à la rivière. J’ai toujours mes doigts enfoncés dans la chatte de Vanessa, qui se contracte en dégoulinant de mouille tout au long du récit. — Nous nous sommes rhabillées, et avons pris le chemin du bois. Nous sommes arrivées dans un verger ; Laëtitia m’a prise par la main et m’a entraîné derrière un prunier ; elle m’a enlacée pour m’embrasser sur la bouche. Je tentais de la repousser, nous n’étions pas encore à l’abri du bois, alors qu’elle relevait ...