Mémoires de vacances
Datte: 08/02/2018,
Catégories:
ff,
ffh,
hplusag,
jeunes,
copains,
fépilée,
bain,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
... déjà mon tee-shirt, faisant jaillir mes seins pour les presser. Elle me malaxait brutalement les mamelles. J’ai senti des picotements dans ma fente, et de la mouille sourdre entre mes petites lèvres décollées. Laëtitia a passé un genou entre mes cuisses pour se frotter à ma chatte. C’était si bon de sentir ses mains me pétrir les seins, son genou nu écraser ma fente… je poussais ma chatte en avant, pour qu’elle me la frotte bien. Elle s’est mise à genoux devant moi, ses mains ont soulevé ma jupe et elle a disparu dessous. Alors qu’elle humait ma fente, je lui ai dit : — Viens à la rivière nous serons mieux. Elle s’est relevée, le visage barbouillé de mouille et m’a répondu : — Oui, c’est vrai, allons-y. Elle m’a passé un bras autour de la taille, et nous sommes descendues, moi seins nus, à travers les champs, jusqu’à la rivière. Laëtitia a immédiatement retiré sa robe, je l’ai imitée. Elle s’est approchée de moi, m’a prise dans ses bras, et m’a embrassée longuement, frottant son genou sur ma chatte. Par-derrière, elle me pelotait les fesses, s’amusant à les ouvrir et à les fermer. Le dos appuyé à un arbre, je me laissais tripoter. Laëtitia mouillait, elle avait les tétons raidis ; j’aimais ça, lui branler les deux petites bites qu’elle avait au bout des seins. Elle aussi d’ailleurs, elle me le faisait savoir, elle était extrêmement sensible des tétons. Je l’ai prise par la main. Elle s’est laissé entraîner au milieu du cours d’eau, là où nous avions pied. Mais avant de la ...
... laver, je tenais à profiter de ses odeurs. Je lui ai écarté les cuisses puis, m’agenouillant dans le lit de la rivière, j’ai écarté ses lèvres, me gavant de sa bonne odeur de brune. De ma main libre, je lui ai ouvert l’anus, pour lui renifler son trou. Et tu vas voir Alain, c’est là le plus fou de ce qui m’est arrivé. Soudain, à peu de distance de nous, la voix reconnaissable de Jacques, un voisin, ami d’enfance de Laëtitia a retenti : — Qu’est-ce que c’est que ces deux salopes ? Ma petite Laëtitia ! Qui se fait bouffer le cul ! Nous nous sommes séparées l’une de l’autre, attendant l’orage, mais sans me démonter, je me suis écriée : — Jacques, qu’est-ce que tu fais là… À reluquer les jeunes filles qui se baignent ? Il n’en revenait pas de nous voir à poil toutes les deux. Il s’est approché de la berge et est rentré dans l’eau. C’était un bel homme d’une bonne trentaine d’années ; j’ai vu qu’il bandait, dans son short bien qu’assez ample. — N’empêche que vous étiez bel et bien en train de vous gouiner ! N’y a-t-il pas assez d’hommes ? Il bandait très fort, c’était parfaitement visible, et il ne cherchait pas à le dissimuler. Je m’étais mise à mouiller et, à l’allure de ses seins, Laëtitia aussi. Je serrais les cuisses pour comprimer ma moule. Je ne pouvais tout de même pas céder à mes pulsions, sous les yeux de sa complice d’enfance, et pourtant j’en avais terriblement envie. Laëtitia a remarqué mon trouble, mon regard rivé à la bosse du short. Tout à coup, je me suis laissée ...